épargne Et Investissement Chez Keynes

Première partie : les classiques ; quelle est l’analyse de la croissance et des crises selon les classiques ? Deuxième partie : analyse marxiste de la croissance et des crises. Troisième partie : dynamique de la croissance et des crises chez Keynes, en insistant sur les déterminants financiers de l’accumulation du capital, et de la crise en analysant les logiques spéculatives. Quatrième partie : modèles post-keynesien, analyse financière et analyse de la répartition. PARTIE 1 : LES CLASSIQUES :

Doctrines Economiques Contemporaines M Vincent DUWICQUET Année Universitaire 2012 - 2013 Table des matières Section I. 1. Keynes et les Classiques ...................................................................................................... 3 Epargne, Investissement et Marché des Fonds Prêtables........................................................... 3 1) La vision classique ...........................................................................................

Fiches macroéconomies : théories, épargne, consommation des ménages, investisment, croissance potentielle et effective, rôle de l’Etat et comptabilité nationale. 1/ Adam Smith C'est le père fondateur de l'économie classique, il est à l'origine du courant libéral, sa principale théorie fut la division du travail expliquée dans l'Essai sur la richesse des nations. * La théorie de la division du travail Il observe une hausse de la spécialisation des tâches dans les entreprises, en effet

La plupart des études empiriques montrent une forte corrélation entre épargne et croissance mais il est difficile à identifier leurs liens. Le sens de la causalité est encore mal compris : est-ce la croissance du revenu qui est à l’origine d’un accroissement de l’épargne ou bien est-ce l’épargne qui stimule la croissance ? Une autre question importante qui mérite d’être analysée est le lien entre investissement et épargne. Dans la mesure ou l’investissement agit de façon plus directe sur la croissance

biens de consommation. Ils mettent aussi des sommes d’argent de côté pour réaliser certains objectifs. Mais les ménages ne sont pas les seuls agents qui épargnent. C’est aussi le cas, par exemple, des entreprises. En permettant le financement des investissements, l’épargne joue un rôle économique fondamental. L’épargne consiste donc, à mettre de l’argent de côté, à faire des économies. La notion économique de l’épargne représente plus la partie du revenu qui n’est pas destinée à une consommation, c’est

condition fondamentale. L’objet a une certaine valeur en fonction de la demande, on en déduit le prix d’équilibre. Exemple : le marché de l’emploi. La condition d’équilibre des prix ne garantit pas le plein emploi. Section 2- L’équilibre Chez les classiques le marché coordonne les décisions grâce aux mécanises d’offre-demande par le biais du prix. Si le prix est flexible alors tous les marchés sont interdépendants et donc d’un marché à un autre on a un prix relatif (je peux définir le prix

1 Secteur réel et secteur financier chez les néoclassiques et les keynésiens Quelques considérations de principe du point de vue classico-keynésien Heinrich Bortis, Université de Fribourg / Suisse Introduction et problème Le traitement des relations entre secteur réel et secteur financier d’un point de vue classico-keynésien implique nécessairement une mise en opposition avec la théorie néoclassique, actuellement dominante. Afin de mieux mettre en relief nos propositions classico-keynésiens

de crise de débouchés car la demande est égale à l'offre au niveau macro-économique. Production = Offre Répartition et utilisation de la production = Demande Plein emploi des équipements Biens d'équipement Profits bruts Epargne = Investissement Plein emploi des travailleurs Biens de consommation Salaires bruts Consommation finale Marché des biens Marché du travail Marché des capitaux Prix courant des biens et services Salaire courant Intérêt courant

L’équilibre des biens et services Chez Keynes c’est équilibre n’est pas une certitude. Keynes contexte la loi de Say. Une partie du revenu est mise en dehors du circuit économique. La demande est en généralement insuffisante par rapport a l’offre. Il faut situé la demande en tant que point de départ du circuit macro éco. On essaye de jouer positivement sur la conso et l’investissement. De plus, pour Keynes pas de dénominateur commun entre épargne et investissement. L’investissement est déterminé

emplois des biens. Les ressources désignent tous les biens et les services dont dispose une économie, sur un territoire donné. L’emploi désigne les différentes factions d’utiliser les ressources, il existe trois façons : – Consommation – Investissement – Stockage Les ressources sont employés quelques soit la façon choisie. Les ressources sont soit demandées, soit non demandées (stockage). Mais dans tous les cas, il y équilibre comptable. Grâce aux stocks qui sont des biens utilisés