épicure Vs Platon

libres penseurs et révélant les solidarités entre les ≠ parties. Autres dialogues chez H : Enquête sur l’entendement humain, XI (d’abord intitulée : « des csq pratiques de la relation naturelle ») : dialogue encadrant un long discours prêté à Epicure, pour ne pas prendre directement en charge l’exposé, atténuer la brutalité de la thèse,[7] et la rendre inessentielle, sans importance. Enquête sur les pp de la morale (51), dialogue conclusif sur la relativité de la morale : faux récit d’un voyage

faible vs fort > constat du rapport de force > morale qui indique les moyens de s’en sortir. ➢ Deux poètes latins du 1er siècle exploitent ce fonds ésopique : Phèdre et Horace (dans certaines de ses Epîtres ou Satires). Phèdre : originalité ds le style (forme versifiée ms qui maintient le tonde la conversation, dc effet de naturel) >> exple du style attique qui allie élégance et brièveté. Variétés des sujets, des tonalités, complexités des situations. ➢ Opposition ésopique fort vs faible

conflit faible vs fort > constat du rapport de force > morale qui indique les moyens de s’en sortir. Deux poètes latins du 1er siècle exploitent ce fonds ésopique : Phèdre et Horace (dans certaines de ses Epîtres ou Satires). Phèdre : originalité ds le style (forme versifiée ms qui maintient le tonde la conversation, dc effet de naturel) >> exple du style attique qui allie élégance et brièveté. Variétés des sujets, des tonalités, complexités des situations. Opposition ésopique fort vs faible se double

l’histoire de la pensée économique ? 2- L’histoire de la pensée économique et l’histoire des autres sciences 3- Les méthodes de l’HPE 3.1. Une histoire rationnelle ou une histoire intellectuelle ? 3.2. Approche relativiste vs. Approche paradigmatique 1) A quoi sert l’histoire de la pensée économique ? A RIEN Comme l’affirmait Georges STIGLER en 1969, l’histoire de la pensée économique est une perte de temps inutile, comme nous avons tant à faire avec la théorie économique

négatif et subordonnée à l'identique. » Moi fini synthétique ou substance divine analytique éternel retour et son extrême cohérence Kant t fêlure une mystérieuse cohérence, Cogito pour un moi dissous # Logique et ontologique de la différence selon Platon la tâche de la philosophie moderne : renversement du platonisme « le monde héraclitéen gronde dans le platonisme. » Idée et un concept propre de la différence méthode de la division # Les figures de la méthode de la division : les prétendants, l'épreuve-fondement

développement de la science dite classique, contribue par là même à préparer le terrain à sa propre remise en question, et par conséquent, à la naissance de la systémique. 1.1.1. Naissance et développement du paradigme positiviste 1.1.1.1. De Platon et Aristote à Descartes et Newton L'histoire de la philosophie grecque est marquée dès ses origines par une opposition qui n'aura de cesse d'alimenter des siècles durant de multiples débats. À la conception platonicienne du monde basée sur la théorie

développement de la science dite classique, contribue par là même à préparer le terrain à sa propre remise en question, et par conséquent, à la naissance de la systémique. 1.1.1. Naissance et développement du paradigme positiviste 1.1.1.1. De Platon et Aristote à Descartes et Newton L'histoire de la philosophie grecque est marquée dès ses origines par une opposition qui n'aura de cesse d'alimenter des siècles durant de multiples débats. À la conception platonicienne du monde basée sur la théorie

vécu de l'individu sert de critère au savoir). Les défenseurs de cette thèse, expliquent que la psychologie ne pourra devenir science que lorsqu'elle distinguera le vécu, de la description scientifique. Cela n'a rien à voir avec la méthode (quantitatif vs qualitatif), mais sur la construction de concepts solides. De plus, la psychologie fait, pour ces mêmes personnes, des classifications instinctives et non basées sur des critères objectifs, ou tout du moins explicitées sur des critères qui permettront

civilisation grecque 2. Caract`re de la science grecque e 3.2. Les pr´socratiques . . . . . . . . e 1. Les premiers philosophes ioniens 2. Les Pythagoriciens . . . . . . 3. Autres ´coles philosophiques e . 3.3. La p´riode classique e . . . . . . . 1. Platon et son ´cole . . . . . . e 2. Eudoxe de Cnide . . . . . . 3. Aristote . . . . . . . . . . 3.4. La m´decine grecque classique . . . e 3.5. La p´riode hell´nistique . . . . . . e e 1. Math´maticiens et m´caniciens e e 2. Astronomes . . . . . . . .

permanence qui peut l'inscrire durablement dans le temps. C'est cette différence des temporalités qui explique que l'individu est assujetti à la totalité du groupe, groupe qui se présente comme un ordre naturel et supérieur. Ex: On peut voir chez Platon dans la République, le philosophe suggérer que tous les couples soient tirés au sort et qu'il n'existe pas de parentalité singularisée et que les enfants soient élevés en commun. Ex: Chez Aristote on trouve l'idée que l'Etat devrait fixer le nombre