équilibrer Balance Transactions Courantes

intégration économique accrue à l'échelle mondiale, peut s'expliquer pour 3 raisons : [pic] [pic] Les données sur le volume des échanges présentées dans le graphique 2 (et le tableau 1) indiquent qu’il existe une corrélation entre les variations des courants d’échanges en termes réels et l’évolution des prix relatifs. Les exportateurs nets de combustibles et d’autres produits des industries extractives comme la CEI, l'Afrique, le Moyen-Orient et l'Amérique du Sud et centrale = croissance des exportations

1 Plan du cours Chapitre I. Schéma général d'une économie mondiale à deux pays 1. Spécifications générales. 2. Le marché des biens. 3 . Marchés d’actifs. 4. Balance des paiements et régimes de change. 5. Cœur du modèle à deux pays. Chapitre II. L’ouverture de l’économie (la petite économie ouverte) 1. L’approche monétaire de la balance des paiements et du taux de change. 2. Modèle de Mundell-Fleming. 3. Modèle AS-AD en économie ouverte. Chapitre III. Les interdépendances internationales (le modèle

consistent en la conversion d’une monnaie en une autre. Le taux de change et son évolution influencent les décisions économiques des agents. Les flux internationaux d’échanges de marchandises et de services sont enregistrés dans le compte des transactions courantes. I- La nature des échanges L’ensemble des agents économiques interviennent dans les relations économiques internationales : * Les ménages en tant que consommateurs * Les entreprises en tant que producteurs et distributeurs

ingénieurs économistes français (Dupuy, Cournot) + Marginalisme (1870 : Léon Walras) - Léon Walras : équilibre général sur tous les marchés « équilibre walrasien ». Nous parlons de marchés de concurrence pure et parfaite, il faut laisser le marché s’auto-organiser à condition d’un sacrifice à une économie de marché. Cette auto-régulation permanente qui conduit à l’optimum. - Le courant de pensée néoclassique (Pareto, professeur Marshall) l’état doit être un élément neutre dans l’économie

1997 : Récession grave au Japon 2000 : Emergence de la Chine dont les excédents financent aujourd’hui la crise américaine et les pays du sud. 1.Les comptes nationaux en économie ouverte 1.1Le compte courant * En économie fermée, la Comptabilité Nationale (CN) nous dit qu’il y a un équilibre entre l’offre et la demande. Y = C + I + DP S = R – C S nationale = S privée + S publique S nationale = Y – C – DP Donc par définition, S nationale = I * En économie ouverte, la CN introduit

métaux, plastique et caoutchouc). La mesure des échanges : la balance des paiements Définition : La balance des paiements retrace l’ensemble des échanges d’un pays avec l’extérieur. Ces échanges s’effectuent avec les résidents et les non résidents (personnes physique et morales) en respectant les règles de la comptabilité en partie double. La balance des paiements constitue donc un tableau équilibré ou le total des débits est égale au total des crédits, donc la somme des différent

n’explique que la moitié de la croissance de la France entre 51 et 73 (le reste=résidu) Harrod et Domar : I= effet revenu (création de revenu suplémentaire du fait du multiplicateur) + effet offre (hausse de la capacité de prod) La croissance est équilibré seulement si les deux sont égaux Modèle de croissance exogène : Solow : la flexibilité parfaite des prix associée à celle des techniques de production qui permet que le stock de capital augmente aussi vite que la population active. L’épargne n’agit

les ressources en monnaie nécessaires aux transactions, à la croissance et au développement de l’activité économique. B) Le circuit économique simplifié 1. Qu’est-ce qu’un circuit ? Un circuit économique est une représentation schématique de la réalité qui permet de comprendre les relations qui unissent les différents acteurs, ou les différentes fonctions, du système économique. Production Dépenses Revenus 2. Une économie en équilibre : L’équilibre économique désigne un vecteur

CHAPITRE III LA POLITIQUE MONETAIRE La politique monétaire regroupe l’ensemble des actions visant à influencer les variables économiques (prix, niveau d’activité, emploi, équilibre externe) par le truchement du volume et du coût de la monnaie. On distingue ainsi les objectifs opératoires, les objectifs intermédiaires et les objectifs finals de la politique monétaire. Les objectifs intermédiaires constituent l’objet de la politique monétaire. Il s’agit des taux d’intérêt, des agrégats monétaires

administrations – institutions financières – extérieur – production – consommation intermédiaire (CI) – revenu (R) – formation brute de capital (FBCF) – consommation finale – dépense – balance courante – taux de couverture – taux d’ouverture – valeur ajoutée (VA) – produit intérieur brut (PIB) – taux de marge – équilibre emplois-ressources – taux d’épargne – taux d’investissement – capacité de financement – besoin de financement – autofinancement – autofinancement – actions – obligations – taux intérêt