étant Donné En Effet Hobbes La Liberté

(octobre : 477-489 1999) ROUSSEAU : LE CONTRAT SOCIAL EN QUESTION Etane Yombo Département de philosophie Ottawa RÉSUMÉ : Notre attention a été attirée par une lecture inusitée qu'Yves Vargas fait de la théorie contractuelle chez Rousseau. En effet, contrairement à la tradition qui fait de Rousseau un penseur contractualiste, Yves Vargas, lui, affirme qu 'il n'y a pas de contrat dans la pensée rousseauiste. Dans cet article, nous nous proposons d'analyser cette thèse afin déjuger de sa pertinence

II.- Souveraineté et représentation : Jean Bodin et Thomas Hobbes 17 Liminaire 17 A. La notion de souveraineté 18 B. La question de la représentation 23 III.- Rousseauisme et jacobinisme 30 A. Le problème de la souveraineté populaire 31 B. Le problème de la représentation parlementaire 36 IV.- Benjamin Constant 41 Liminaire 41 A. Libéralisme démocratique contre absolutisme démocratique 43 B. La question de la liberté chez les Modernes 46 C. La doctrine politique de Benjamin

est le « geôlier » de l’individu ? I Dans une première partie de notre développement, nous verrons l’Etat comme pacte social permettant une sécurité pour l’homme et la société en général. Pour ce faire, nous nous appuierons sur deux philosophes, Hobbes et Rousseau. L’homme ne connaît pas naturellement l’Etat. L’état de nature est un état de guerre permanent et la création de l’Etat par un pacte social permet justement de mettre fin aux violences. II l’excès et l’abus de pouvoir de l’état fort

des autres convergent toutes vers le même besoin essentiel des êtres humains, celui de se connaître et de trouver un fondement à leur action[1]. Ainsi, l'être humain est-il fondamentalement bon ou mauvais ? Pour plusieurs théoriciens, tels Thomas Hobbes et Sigmund Freud, l'Homme est en tout point mauvais. En fait, leurs notions sont principalement fondées sur l'évolutionnisme. Qui dit évolutionnisme, dit aussi pulsions animales. Alors l'Homme serait régi par des instincts incontrôlables. Cependant

Suite Cours Philo La Politique - Ici la théorie, càd les idées vont précéder la réalité historique. En effet, le pouvoir souverain compris comme pouvoir illimité n'existe pas encore Ms les spécialistes du droit de l'époque que l'on appelle légistes vont combattre l'idée d'un pouvoir souverain limité - Quels sont les obstacles à un pouvoir souverain ? Ils (légistes) doivent rendre caducs les lois fondamentales, les lois senoriales et le droit canonique (de l’Église) => ex : roi ne peut

2 DROIT CONSTIT Depuis des siècles, l’Etat est le cadre privilégié de l’exercice du pouvoir politique, il est dans la période contemporaine la forme la plus répandue d’organisation des sociétés humaines La création d’un état indépendant est en effet une revendication prioritaire aux yeux des Hommes, qui , partageant un territoire , une histoire ou des valeurs, forment un peuple désireux de maîtriser son destin. On compte ainsi près de 200 états à travers le monde. Maw Weber : « Comme tous les

L’ETAT I Introduction. . Etat : organe du pouvoir politique, constitué par l’ensemble des institutions : politiques, juridiques, militaires, administratives, économiques, etc , qui organisent une société sur un territoire donné en fonction d’une idée du bien commun. (Communauté juridique) cela suppose : 1- un pouvoir qui dure dans le temps, une permanence de l’institution et du pouvoir qui ne se confond pas avec la personne du chef ou du représentant. Une formule illustrait

on la tourne du coté où l’on veut aller » =>on la fabrique comme on veut pour poursuivre les objectifs qui sont assignés : l’adage étant la fin justifie les moyen. Le droit se trouve totalement instrumentalisé, il est au service de la volonté de l’Etat, justifier par la grandeur de la fin poursuivi, avec de grd moyen, puisque la fin est excellente. L’idée étant dernière, c’est que le droit ne comporte pas d’extérieur à la volonté de l’Etat. C’est la base mm du positivisme : tous commence avec

l'affirmation de la liberté en politique §-1 Le contexte politique Les philosophes sont parvenus à élaborer la première conception de modernité au sein du domaine de la politique. Ces derniers sont parvenus à laïciser le champs de la politique; c'est à dire à débarrasser la politique de toute dimension théologique. A cours du XVII e siècle, les états d'Europe étaient confrontés à la guerre. Ainsi, il convient de considérer que si on reprends les théories de Machiavel ou de Hobbes, ils ont finalement

« Renoncer à sa liberté c’est renoncer à sa qualité d’homme, aux droits de l’humanité, même à ses devoirs. Il n’y a nul dédommagement possible pour quiconque renonce à tout. Une telle renonciation est incompatible avec la nature de l’homme, et c’est ôter toute moralité à ses actions que d’ôter toute liberté à sa volonté. Enfin c’est une convention vaine et contradictoire de stipuler d’une part une autorité absolue et de l’autre une obéissance sans bornes. N’est-il pas clair qu’on n’est engagé à rien