étant Donné En Effet Hobbes La Liberté

chrétienne va montrer une certaine préférence à la monarchie, alors que des auteurs comment Saint Augustin, Saint Thomas d’Aquin (13eme siècle) manifestent une certaine souplesse, donc si le pouvoir politique est divin, dieu a laissé aux hommes la liberté de l’exercice de ce pouvoir, malgré cette position de souplesse, cette doctrine recommande la soumission au monarque et donc une interdiction d’agir violemment contre ce pouvoir politique malgré le fait qu’il soit injuste. C’est une position assez

des pouvoirs politique et économique ? « Le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » sont les termes qu’employa Abraham Lincoln pour définir la démocratie. Elle suppose une organisation gouvernementale qui permet de préserver les libertés et intérêts de chaque citoyen. On peut se demander si les pouvoirs politique et économique peuvent être détenus par le gouvernement pour préserver ce principe, fondement de toute démocratie. Nous nous interrogerons dans une première partie sur

retours en arrière ( un État peut amener à se construire et se détruire avant la fin de sa construction). Les Marxistes (Karl Marx, Engels) s’inscrit dans ces phénomènes d’État , l’État naît naturellement des antagonistes économiques et sociaux. En effet,l’État tel qu'il existait aux XIX siècle est un organe d’oppression d'une classes sociale sur l'autre : l’État est l'instrument d’oppression du peuple travailleurs exploités (les prolétaires) par une minorité privilégié (la bourgeoisie). L’état

La technique Le progrès et l'innovation au cours des deux derniers siècles, ont produit le changement climatique =la technique nous a complètement échappé.Aristote définit la technique comme étant la capacité de l'homme à produire des choses en suivant une règle. Ainsi, les notions de technique et de travail sont forcément imbriquées. Par ailleurs, il faut vraiment comprendre la technique comme un moyen et non comme une fin. C'est un mode d'emploi qui permet à l'homme d'accomplir et de réaliser des

devrait-on ne pas la vouloir à tout prix ? Ne peut-on penser, en effet, que la paix constitue le bien souverain, la fin ultime, qu’il faut impérativement vouloir mais aussi instituer par tous les moyens, jusqu’au sacrifice d’autres biens, voire de tous les autres biens si nécessaire ? L’histoire effective des hommes n’en témoigne-t-elle pas puisqu’elle ne commence réellement que par un contrat social qui vise à instituer la paix comme étant susceptible de mettre fin à la guerre de tous contre tous qui

générale ». « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté». Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, le but de toute politique est de garantir la liberté et les droits naturels de l’homme, qui sont généralement inclus dans la liberté : sûreté, sécurité, liberté d’expression. Les lois sont une prolongation du droit naturel comme Montesquieu le dit dans De l’Esprit des Lois : « [les lois] sont les rapports

permettent ainsi à chaque citoyen d'exercer sa liberté sans entraver les autres. De ce fait la loi est la justification de la justice. Un citoyen est contraint d'accepter la loi qu'elle soit bonne ou mauvaise car elle vient faire barrière elle a désobéissance. Chacun applique et accepte la loi, donc chacun accepté de les respecter et de ne pas les contester. Le rapport de force entre état et citoyen est en réalité ce qui légitime le juste. En effet l'état punie ce qu'il ne considère pas comme juste

« des rencontres partielles dans des localités diverses » tandis que la seconde consiste uniquement à « nommer des députés à une assemblée centrale ». Ainsi, selon Sieyès, la première ne peut résulter en une « volonté générale » unique parce qu’elle donne voix aux citoyens vivant dans les localités, semblable en cela au modèle proposé par Condorcet. Ce qui nous intéresse ici, c’est que Sieyès comprenait très bien la distinction entre différentes formes de gouvernement représentatif. H. L. : Bernard

groupe de personne ; d’une institution à exercer une compétence. Cette notion de pouvoir renvoit à la notion de puissance c’est-à-dire que ce que l’on appelle pouvoir politique renvoit à une dialectique, celle du commandement et de l’obéissance : en effet le pouvoir quel qu’il soit fait toujours allusion à cette capacité de contraindre (Max Weber dit que la puissance est toute chance de faire triompher au sein d’une relation sociale son point de vue même contre des résistances) Quand on parle de pouvoir

ce que sont les conduites justes, l'idée de beau est le modèle qui permet de reconnaître les choses belles etc. Dans sa montée vers la connaissance l'âme qui se libère de l'opinion commencera par l'étude des mathématiques. Les mathématiques ont en effet l'avantage de porter sur des objets intelligibles. Le cercle, le carré, les nombres sont des idées que nous ne pouvons appréhender au moyen de nos sens. Si j'admets que cette droite sans épaisseur mais d'une longueur infinie dont me parle le mathématicien