état Stationnaire Smith

équilibres socio-économiques - les révolutions d’Amérique et de France sur le plan politique qui véhiculent les notions de liberté et de propriété privée Dans cette pensée, l’intérêt individuel et égoïste suffit à lui-seul à guider l’économie. Adam Smith, dans Recherche sur les Causes de la Richesse des Nations (1776), introduit l’idée que la recherche du gain n’est pas condamnable en soi. Au contraire, l’égoïsme conduit à la prospérité générale par le mécanisme de la « main invisible », qui conduit

physique (sans améliorer le reste) ? L’idée selon laquelle l’investissement et l’épargne sont des moteurs essentiels de la croissance est présente dans la pensée économique depuis toujours. C’est au cœur des théories classiques de la croissance (SMITH, RICARDO et MARX), de la théorie keynésienne de la croissance (HARROD ET DOMAR - 1950) et de la synthèse néo-classique (le modèle de SOLOW en 1957). Et même dans le modèle qui a vraiment marqué le renouveau de la théorie de la croissance, l’investissement

1999), mais des indicateurs plus agrégés sont employés : Cool et Dierickx (1993) utilisent ainsi comme index de rivalité un indice de concentration. Smith et al. (1997) opérationnalisent cette idée de rivalité en s'appuyant sur l'identification des actions compétitives et de leurs réponses (Gimeno, 1999 – Chen et al., 1992 – Smith et al., 1991 – Smith et al., 1989). A partir de ces données élémentaires, ils définissent un degré d'activité compétitive, un degré de pro-activité, une inclinaison pour

besoin qui est limitée par la rareté relative des biens. On a des biens libres qui sont illimité, qui font l’objet d’un état naturel et qui n’ont pas valeur marchande. On a des biens économiques qui sont quant à eux limité par les ressources, ils font l’objet d’une transformation. Ils sont caractérisés par leur utilité, leur disponibilité et leur rareté. Exemple venant d’Adam Smith : « Il n'y a rien de plus utile que l'eau, mais elle ne peut presque rien acheter ; à peine y a-t-il moyen de rien avoir

croissance A. Les théories de la croissance 1. Les précurseurs Adam Smith (1776, Recherches sur la nature et les causes de la Richesse des Nations), met en évidence le rôle de la division du travail (surplus, marché, gains de productivité) comme facteur de croissance. Cette division du travail se trouve renforcée par la participation du pays au commerce international (théorie des avantages absolus). L’optimisme de Smith apparaît à travers les traits d’une croissance illimitée (elle dure tant

général Grant pour s’emparer de Richmond, plusieurs de ses officiers tombèrent au pouvoir de l’ennemi et furent internés dans la ville. L’un des plus distingués de ceux qui furent pris appartenait à l’état-major fédéral, et se nommait Cyrus Smith. Cyrus Smith, originaire du Massachussets, était un ingénieur, un savant de premier ordre, auquel le gouvernement de l’Union avait confié, pendant la guerre, la direction des chemins de fer, dont le rôle stratégique fut si considérable. Véritable Américain

présente déjà une grande complexité. 1. LE SYSTEME DEMO-ECONOMIQUE Les économistes classiques s’intéressent tous à la population. Smith, Ricardo et Stuart Mill mettent respectivement en relation avec des variables démographiques les phénomènes de division du travail, de rendements décroissants et de tendance des sociétés atteindre, à terme, un état stationnaire. Mais Malthus marque plus profondément la pensée démo-économique naissante et sa thèse, reformulée, généralisée... est toujours discutée

une théorie. Il est tentant de dire : les faits montrent que… La plupart du temps, et strictement parlé, les phrases qui commencent ainsi sont des mensonges (Popper encore) Différence entre causalité et corrélation. Exemples: Keynes, List, Carey, Smith, … Corrélation peut-être pure coïncidence : contre-factuel Mais pourquoi parler de théorie et de faits puisque notre cours est un cours d’histoire de la pensée ? C’est que l’histoire de la pensée économique englobe l’histoire des faits et l’histoire

en particulier pendant les 30 Glorieuses où on a une croissance rapide et soutenue, va faire apparaitre des limites à l’objectif premier de toutes les politiques économiques : la croissance. Pourtant, ces limites avaient été anticipées par Adam Smith. Il dit par exemple dans son livre : « la poursuite du profit deviendra graduellement de plus en plus difficile ». Il faisait référence à la dégradation de la nature. Aussi Malthus (18e) que fera un essai sur le principe de population. Ricardo

nom – avaient-ils pris pied sur le sol, que tous, songeant à l’absent, s’écriaient : « Il essaye peut-être d’aborder à la nage ! Sauvons-le ! sauvons-le ! » – 14 – CHAPITRE II Un épisode de la guerre de Sécession. – L’ingénieur Cyrus Smith. – Gédéon Spilett. – Le nègre Nab. – Le marin Pencroff. – Le jeune Harbert. – Une proposition inattendue. – Rendez-vous à dix heures du soir. – Départ dans la tempête. Ce n’étaient ni des aéronautes de profession, ni des amateurs d’expéditions