état Stationnaire Smith

moyen pour une nouvelle production. Il consiste en ceci que le travail vivant sert de moyen au travail accumulé pour maintenir et accroître la valeur d'échange de celui-ci. Questions 1. Comparez la définition du capital donnée par Marx à celle de Smith 2. En quoi la production est-elle à la fois un rapport entre l’homme et la nature et un rapport entre les hommes ? 3. Qu’est-ce qui différencie la société antique, la société féodale et la société bourgeoise capitaliste ? 5 Texte 4 - Friedrich

public b. Les différentes facettes du rôle du secteur public III. LES INDICATEURS DE LA CROISSANCE A. Le concept du PIB B. Les indicateurs alternatifs de la croissance C. Quelques pistes de réflexion 94 CHAPITRE IV LA CROISSANCE Depuis Adam Smith et sa richesse des nations, la croissance occupe l’esprit de nombreux économistes. La croissance est ainsi associée à plusieurs qualificatifs : illimitée, limitée, instable… La croissance économique peut se définir comme « un accroissement durable

l’augmentation de la population. Il y a d’une part un mode de vie relativement frugal... loin des velléités de nos sociétés, d’autre part des ressources suffisantes, et enfin l’usage des ressources par les propriétaires, moteurs de l’économie. L’optimisme de Smith, quant à lui, le conduit à affirmer que "la marque décisive de la prospérité d’un pays est l’augmentation du nombre de ses habitants". De plus la croissance démographique dépend des lois économiques. Ainsi, lorsqu’il y a des limites économiques à

quelles étaient les routes à suivre afin de jouir de la « Richesse des nations ». L’étude des textes d’A. Smith ou D. Ricardo a permis de mettre en avant les principes centraux que sont la division du travail et l’extension du marché, la formation et la répartition de la valeur, les théories des avantages absolus/comparatifs… L’enseignement introductif se conclue sur les thèses de l’état stationnaire. La croissance économique est dans ce cas équilibrée, sans heurts, et elle débouche sur la «fin de l’histoire

2 systèmes économiques. : système de régulation système de surproduction 3 facteurs de croissance  capital, travail, institutions capital et travail  surproduction institutions (état, marché) régulations Un système fonctionne bien si tous les facteurs fonctionnent ensemble Le système de production influence système de régulation problème, dysfonctionnement Axe de temps 1780-1873:1 révolution industrielles, réformes

politiques des gouvernements asiatiques et l'inefficacité des programmes de sauvetage du FMI, changent leurs opinions durant la panique.Donc, l'aggravation de la crise financière, notamment la crise bancaire, peut être expliquée principalement par un état de panique traduit par un retrait massif des dépôts par les épargnants. c) Un modèle de synthèseAfin de comprendre les mécanismes de déclenchement de la crise asiatique, Irwin et Vines (1999) ont développé un modèle qui fait la synthèse des aspects

que ce scénario se réalise. Il semblerait qu’il ne peut pas être à lui seul le moteur des efforts mondiaux déployés en vue d’améliorer rapidement la sécurité alimentaire des pauvres. La production vivrière doit donc augmenter aussi dans les pays en état d’insécurité alimentaire. 2.6 Les expériences accumulées au fil des études et des observations concernant la première révolution verte montrent clairement que les forces du marché en général et les mesures commerciales prises par les gouvernements

« L'accroissement du nombre de sociétés dont l'individu fait partie le libère en quelque sorte de chacune d'elle. C'est ainsi que l'absolutisme de la famille disparaît à mesure qu'augment le nombre de sociétés nouvelles, métier, confrérie religieuse, état, dans lesquels ses membres se trouvent engagés. » Michel Forsé, 2002, indique que cette évolution des cercles sociaux de Simmel peut être assimilée à celle de l'âge: Enfance → petit cercle (famille, amis) Adulte → agrandissement et complexité

investissement. Donc il faut une théorie de l’investissement. Les classiques disent que ce n’est pas très éloigné et l’appelle théorie de l’accumulation. Ils disposent alors d’une analyse de la croissance économique, celle qui abouti à un état stationnaire. Pour les classiques c’est le profit qui va déterminer l’accumulation. Tant qu’un investissement supplémentaire est susceptible de faire des profits, l’accumulation du capital (l’investissement) est possible. La perspective d’accumulation

nous employons le test de Dickey-Fuler Augmenté (ADF), puis le test de Phillips et Perron (PP), qui permet de tenir compte de l’hétéroscédasticité et de l’autocorrélation. Ces deux tests sont basés sur l’hypothèse nulle : le processus est non stationnaire. Nous confirmons nos résultats par un troisième test de Kiwatkowski, Phillips, Shimdt et Shin (KPSS). Ce dernier test, contrairement aux deux premiers, est basé sur l’hypothèse nulle de stationnarité des séries. Les tableaux 1, 2 et 3 présentent