étude La Reine Morte Texte

Scudéry (1607–1701) baroque, seconde moitié plutôt classique. • Ibrahim, ou l'illustre Bassa (4 vols. 1641) 2.1 Le Baroque • Artamène, ou le Grand Cyrus (10 vols. 1648– 1653) • Clélie, histoire romaine (10 vols. 1654–1661) • Almahide, ou l'esclave reine (8 vols. 1661– 1663) • Roland Le Vayer de Boutigny • Mithridate (1648–51) • Gautier de Costes de La Calprenède • Cassandre (10 vols. 1642–1645) • Cleopatre (1646–57) • Faramond (1661) 2.1.2 Une sélection d'écrits baroques en français (comique) • Agrippa

littéraire » 330 4) Le lecteur « réel » face aux « blancs » du texte : vers la relecture… ..........................332 B. La lecture d’Une vie : d’hier à aujourd’hui........................................................335 1) La lecture dix-neuvièmiste : une lecture essentiellement réaliste..................................335 a) Un « nouveau » lecteur pour un « nouveau » roman................................................335 b) Le texte porteur de son contexte.................................

sujets en italien....................................................64 5) Explication du contenu du corpus…………………………………67 CONCLUSION…………………………………………………………………..70 ANNEXES………………………………………………………………………...72 ANNEXE 1 : texte original et traduction de Questa storia d’Alessandro Baricco (pp.7-38)……………………………73 ANNEXE 2 : corpus………………………………………………………..105 Corpus principal…………………………………………………………….105 Corpus secondaire..…………………………………………………………106

qu'on ne pense. Ce sont elles qui forment ce je ne sais quoi, ces goûts, ces images des qualités des sens, claires dans l'assemblage, mais confuses dans les parties, ces impressions que les corps environnants font sur nous…" Dans ce texte, Leibniz insiste sur ce point : il y a à tout moment une infinité de perceptions en nous, mais, sans aperception ou réflexion (ie : dont on n'a pas conscience); ie : il y a des changements dans notre âme, dont nous ne nous apercevons pas. Leibniz

nièce Marie de Gournay. Sa devise est : « Que sais-je ». Il appartient au mouvement littéraire « le scepticisme ». Son premier livre est publié en 1580, le second en 1588 et son troisième publié de manière posthume en 1595. Textes Montaigne : -« texte » Premier paragraphe : Si on pouvait éviter la mort, il serait mieux d’être lâche car lâche ou courageux, la mort ne fait pas de différence et finit toujours par nous rattraper. Intermède latin : Il vaut mieux être un fou qui a plein de défaut

..................................... 8 d- Etude de texte...................................................................................................................... 10 2- LE PRÉROMANTISME ........................................................................................................ 15 a- Quelques repères ................................................................................................................ 16 b- Etude de textes ..................................

abordée en elle-même, pour elle même, dans son rapport au lecteur qui réinvente le sens de l'œuvre qui ne préexiste pas à la lecture. Toute approche historisante est illusoire et réductrice puisqu'elle tend à dire que le sens de l'œuvre est tenu par le texte, alors qu'il est dans la lecture. On reproche aussi à l'histoire littéraire son parti pris : l'historien opère des choix, propose une interprétation, mais rend rarement compte des présupposés, laisse croire que l'histoire littéraire existe en elle-même

……………………………………page 18 Les figures de style ……………………………………page 21 Lecture Méthodique Données méthodologiques ……………………………………page 25 Étude des œuvres ……………………………………..page 28 Œuvre 1 : Soundiata ou l’épopée manding, roman ………………………………page29 Le groupement de textes théâtraux

Il y avait aussi une curieuse marque triangulaire, striée, d’environ un pied de diamètre, que Lake reconstitua à partir de trois fragments d’ardoise provenant d’un trou profond d’explosif. Ces fragments découverts à l’ouest, près de la chaîne de la Reine Alexandra, intéressèrent particulièrement Lake qui, en tant que biologiste, jugeait leurs marques mystérieuses et excitantes, bien qu’à mes yeux de géologue elles ne paraissent guère différentes des effets de rides assez courants dans les roches sédimentaires

interrogative directe : Ce texte vous paraît-il… ? ou En quoi/Pourquoi/Comment/Dans quelle mesure ce texte… ? La seconde question peut être posée de façon plus indirecte : Vous vous demanderez si…, Vous vous interrogerez sur … ou utiliser une formule destinée à orienter la réflexion de l’élève : Vous réfléchirez à… Quelle est la fonction de la question ? Elle porte sur un texte. C’est donc le caractère spécifique du texte qui appelle la question. Elle porte sur un texte déjà connu du candidat. Elle