évolution De Meursault

cours du temps . le héros de Stendhal (Julien sorel )est bien différent de celui de Camus ( Meursault) , par exemple .Le héros du roman obéit a la loi du changement. Il suit un itinéraire semé d’obstacles ou de conflits qui vont le modifier , voire le transformer. Le personnage du début n’est plus le même que celui de la fin. Depuis le XVIIe siècle jusqu’au XXe , le héros romanesque a connu une évolution , tout comme le héros dans le théâtre. Il a perdu de la valeur , et de nos jours , le roman moderne

couple de suicidés (« nous ne sommes pas de ce monde, nous sommes des justes »). III. Analyse de L’étranger A TERMINER Résumé ; titre (cfr extrait du Mythe de Sisyphe sur l’étrange, texte de Camus sur son Etranger) ; analyse du personnage de Meursault et de l’absurde (à partir de l’extrait du meurtre, de l’enterrement) ; comparaison incipit / fin ; gestion du temps (journal + mémoires) ; thèmes du travail de groupe (soleil, mer, mère / femme, justice, communication difficile, mort / peine de mort) ;

peut également se construire dans un rapport qui n'est pas conflictuel mais dans lequel le regard de l'auteur intervient fortement. 1.Personnage dans l'incompréhension du monde -Vie trop rêvée : Mme Bovary (ironie de Fl) -Vie paraît absurd : Meursault (représente l'absurde de la condition humaine) 2.Personnage en harmonie -Valmont (utilise tout ce que lui donne la société, ), Bouvard et Pécuchet (mais ironie du narrateur) III. Mais le rapport du personnage avec le monde peut également

Il existe aussi une subversion sociale voire philosophique visant à saper les fondements de la société par un comportement inadapté ou outrancier. Elle est illustrée dans le roman capital d’Albert Camus, l’Etranger : le personnage de cette œuvre, Meursault, dont le prénom n’est jamais révélé ce qui tend à l’assimiler au genre humain dans son ensemble, heurte par un comportement inadapté les bases même de l’ordre social. Il fait preuve d’une étrange passivité face aux événements qui surviennent et ne

gourmand, détaché des choses matérielles, il est borné, figé, ridiculisé du début à la fin et en est resté à sa philosophie. * Martin : même avis que Candide mais pessimiste on ne pense pas à ses angoisses en se fatiguant au travail. B. Evolution de Candide * début : naïf, gamin. * Conte d’initiation et d’apprentissage car Candide a grandi capable d’avoir une réflexion personnelle. * Autonomie intellectuelle, capable de faire des choix : « me parait bien préférable », choix

travailler, il sait qu’il a amené la graine de la révolte et que les mineurs seront capables de protester une nouvelle fois si besoin est, à cause de leurs conditions de travail. On peut également remarquer une évolution psychologique dans d’autres romans tels que L’étranger d’Albert Camus. Meursault qui semblait tout à fait incapable de penser, de réfléchir à ses actes ou encore d’éprouver quelque sentiment se révèle complètement autre à la fin du roman. Alors qu’il est proche de la mort, il explique

au XIXe siècle, mais ce choix est aussi celui de certains auteurs appartenant au courant du « Nouveau Roman » et également de certains auteurs de l’Absurde. Meursault, dans l’Etranger de Camus, est plus qu’un héros médiocre (il est pauvre et employé de bureau), c’est un antihéros. Camus en fait même l’antithèse de Héros classique. Meursault ne comprend pas son geste meurtrier, rien ne le prédisposait. Il subit uniquement les pulsions et le hasard de l’instant. En 1950, Alain Robbe-Grillet (principal

* Il est plus ou moins décrit. * Evolution au cours du temps. Aux origine du personnage de roman Les premiers héros * On ne parle pas de « roman » * Ce terme se retrouve au Moyen Âge, car ça vient de la langue romane. * Homère écrit l’Iliade et l’Odyssée et fournit de nombreux héros et concevait le héros doté de qualités exceptionnelles. Le modèle du chevalier * Romans antiques : Enéas et Le roman de Troie (1160). * Evolution du personnage qui amorce la suite :

Ronde. Le duc de Nemours dans La Princesse de Clèves. On le trouve souvent présenté en opposition au héros positif. Vautrin, dans La Comédie humaine de Balzac. George Duroy, dans Bel-Ami de Maupassant. Emma Bovary, dans Madame Bovary de Flaubert. Meursault, dans L’Etranger de Camus. Le héros négatif L’anti-héros Son apparence : banal, ordinaire, voire laid Ses relations à la société : souvent à part, dans un monde qu’il ne comprend pas. Plusieurs personnages qui agissent ensemble dans un but commun

Intro : définition et évolution du mot "héros" I. Un personnage de roman se doit d'être un héros... A/ Parce que, ayant un destin incroyable, il transporte le lecteur loin de la réalité. Exemples: Julien Sorel dans Le rouge et le Noir de Stendhal ? B/ Parce que, doté d'une personalité hors du commun, et de qualités exceptionelles, il force l'admiration du lecteur, fait figure de modèle. Exemples : exemples des mythes de l'Antiquité ? Madame de Merteuil dans Les liaisons dangereuses de Laclos