évolution Du Genre Comique

réflexion sur les motifs de l'amour-propre, de la tromperie ou de l'imposture, dont il analysa les innombrables variations dans ses pièces de théâtre où la subtilité et la légèreté cachent, le plus souvent, une extrême gravité. Marivaux a renouvelé le genre de la comédie en la fondant sur l’amour naissant traduit en un langage délicat, un jeu de séduction par le langage, par la suite appelé « marivaudage ». Marivaux est non seulement l’auteur de pièces de théâtre mais aussi de romans (La vie de

extrait de Lettre Persane, plus précisément la Lettre XXIV, et cette œuvre a été publié en 1721 de façon anonyme. Auteur vite démasqué : Montesquieu philosophe et écrivain français des Lumières (libéraliste). Cette extrait, donc, est une lettre donc du genre épistolaire envoyé d’un certain Rica à Ibben qui se trouve à Smyrne, aujourd’hui Izmir dans la ville de Turquie. Dans cette lettre, Rica, raconte ses impressions de la ville de Paris et de la France où il séjourne depuis un mois. PROBLEMATIQUE PLAN

dessinée et les grandes surfaces Une enquête menée par TNS-Sofres pour Livres Hebdo prouve que la bande dessinée se vend d'abord en supermarché. Les albums de bande dessinée se vendent deux fois plus en grande surface qu'en librairie. Une évolution de la consommation culturelle qui se répercute forcément sur les perspectives éditoriales, voire même, qui entraîne une perception de la bande dessinée changeante. Y aurait-il une opposition entre bédéphiles et acheteurs de BD ? La « bande dessinée

danse et à l’équitation, puis il s’engage dans une carrière militaire. Lors de la révolution il se lie aux Jacobins et risque à deux reprises d’avoir des ennuis jusqu’au cou, mais est sauvé de justesse. Il a écrit de nombreux poèmes et des opéras comiques (très mauvais il paraît), ainsi qu’un essai sur l’éducation des femmes qui a surprit par sa morale étant donné qu’on le connaissait plus pour ses écrits libertins. Meurt lors d’une mission militaire en 1803 pour cause de dysenterie. (berk) Les

les Gascons sont partagés entre la colère (v. 1731-1732) et l'humour (v.1744, 1756-1762 ..., etc.), rêvant tout haut de nourriture, à grand renfort de termes évocateurs (champs lexicaux dominants de la nourriture et du corps, registres réaliste, comique et dramatique ), tandis que Cyrano, s'élevant comme toujours au-dessus des contingences matérielles, continue à faire des bons mots ("l'éminence qui grise", v.1771)et à défendre son esthétique de l'éloquence (v. 1773-1779, théorie de la pointe)

tout comme Meursault. Effectivement, de façon paradoxale, ce dernier est exclu de son procès et ne semble pas réellement s'y intéresser. Il porte un regard extérieur et naïf sur les événements qui l'entourent. Cette scène absurde devient presque comique ce qui peut amuser le lecteur. Ensuite, j'admire le personnage de Meursault. Son indifférence à l’égard du monde qui l'entour et à l’égard de ce qui peut lui arriver fait de lui un personnage exceptionnel. Cet homme mystérieux et difficile à cerner

Caractérisation indirecte - Par les actes (texte 2) - Par la parole (texte 3) Partie 2 : évolution de la caractérisation et de la notion de personnage Tout d’abord, il ne faut pas concevoir le personnage de roman comme une personne : c’est une création littéraire qui revêt l’apparence d’une (ou plusieurs) personne(s) et n’est parfois qu’un type. Le personnage de roman n’apparaît qu’au XIIème siècle, avec le genre lui-même. 1. UN HEROS A) Dès le XIIème siècle : l’ère du héros médiéval Le personnage-chevalier

création de liens sociaux. En effet, le rire rapproche. Henri Bergson, célèbre philosophe du XXème siècle s'étant intéressé pendant de longues années au rire, écrit dans son livre « Le rire. Essai sur la signification du comique », que l' « on ne goutterait pas le comique, si l'on se sentait isolé. Il semble que le rire est besoin d'un écho. » De plus, le rire ne peut être partagé que par des individus possédants une culture proche, afin de pouvoir se comprendre entre eux. Par ailleurs, le

Il annonce aussi le futur conflit cornélien : l’héros souffre d’aimer car l’amour aliène sa liberté. Enfin, dans La Veuve aparaissent des stances pour la première fois dans l’oeuvre de Corneille. Puis il s’éloigne du genre comique avec Médée, mais il y revient avec L’Illusion comique. Avec le Cid, Corneille n’épiloque plus la magie du théâtre, il la met en action. Il prend conscience de son véritable génie au contact du drame espagnol. Corneille doit beaucoup à l’Espagne et aux écrivains d’origine

intenses. Dans L'île aux esclaves, le ton léger et les moqueries d'Arlequin vis à vis de son ancien maître font sourire, notamment lorsqu'il dit « les marques de votre amitié tombent toujours sur mes épaules et cela est mal placé ». Cet affrontement est comique, contrastant avec les textes B et C présentant des personnages qui gardent beaucoup mieux leur calme. Dans le texte d'Anouilh, Antigone emploie un vocabulaire de petite fille avec des termes comme « entêtée », « sale bête » ainsi que la répétition