être Savant Pour Penser Par Soi Même

Chapitre II : LES HOMMES DE LA RENAISSANCE. XVeme et XVIeme siécle La notion centrale est celle de modernité, qui est très importante pour comprendre la façon de penser des hommes de la renaissance. ( ère moderne : 1492-1789). Cependant cette modernité est paradoxale parce que l ?homme de la renaissance a 2 idées contradictoires : ils recherchent le progrès humain mais aussi le désir d’un retour vers l’Antiquité ( qui correspond a l’âge du beau et du bon). Il y a une volonté de rupture avec le

de la religion, des valeurs de son statut dans la société, ainsi que des normes de l’époque. La religion est tout de même défendue, du moins en apparence vu les excès du personnage de Sganarelle, joué par Molière, mais ce n’est que le valet du héros, très naïf qui croit au loup-garou. Inutile de préciser que la comédie ne fut guère appréciée par l’Eglise et les dévots. Elle ne pu être jouée que quinze fois avant sa censure totale. « Cette pièce a fait tant de bruit dans Paris, elle a causé un scandale

raison des défauts qu’on lui trouve. C’est plus qu’une répugnance, une simple a-version ou un désamour, le fait de négliger ou de se détourner. La détestation, comme haine, peut être de répulsion mais aussi de destruction. Et cet affect répond à un événement analogue. La science, comme entreprise de vérité et souci (peut-être naïf) du bonheur ne peut que susciter amour et enthousiasme ; en tant qu’activité sociale (si elle respecte les quatre normes de Merton), elle reste un lieu d’autonomie et de souci

Elle vivait dans un village situé non loin d’un monastère, célèbre par son enseignement. On venait de très loin suivre l’enseignement donné par certains moines savants. Elle fut élevée religieusement et d'une façon très stricte. Mais elle pensait que sa religion était enseignée aux gens simples et ne suffisait qu'à ceux qui ne pouvaient penser beaucoup. Finalement elle ne croyait plus à rien, ou plutôt, elle croyait en la matière, elle croyait au pouvoir du pain qui nourrit l'homme, à l'importance de

philosophique et l’usage rhétorique de la parole et à leurs implications morales et politiques. En effet, le fil conducteur de l’œuvre semble être le problème du meilleur genre de vie. Doit-on chercher à s’emparer du pouvoir dans le but de pouvoir donner satisfaction à tous ses désirs ? (c’est ce qu’affirme le camp de la rhétorique) Ou bien faut-il penser, comme Socrate, que la philosophie a une valeur essentielle pour l’homme et pour la cité ? Par ailleurs, au fur et à mesure que la discussion progresse

« dégonflée » par la seconde partie du vers « d’un pays pluvieux », où « pluvieux » à la rime prend même 3 syllabes, puisqu’il faut compter la diérèse plu/vi/eux afin d’avoir le compte de l’alexandrin. « PLU/VI/EUX » s’étale donc ainsi sur la moitié de l’hémistiche : la puissance n’est donc pas du côté du poète mais bien du côté de Pluviôse, de la pluie, puissant agent du spleen qui va ici être à l’œuvre. · On note également qu’après ce premier vers, le « je » va complètement disparaitre

Chapitre I Micromégas est un géant de trente-neuf kilomètres de haut environ, jeune savant doté d'environ mille sens et habitant une gigantesque planète de l’étoile nommée Sirius. À la suite de travaux scientifiques contestés par les fanatiques du clergé de sa planète, il est contraint à l’exil. C’est alors qu’il voyage dans l’univers "pour achever de se former l'esprit et le cœur". À son arrivée sur Saturne, le géant sirien se moque d’abord de la petite taille des habitants, qui ne mesurent que

faits sociaux. « Des manières d’agir, de penser et de sentir à l’extérieur de l’individu et qui sont doués d’un pouvoir de coercition (contraintes) en vertu duquel ils s’imposent à lui » Durkheim. -Manières d’agir, les actions (parler la langue, la manière forte) -Manières d’agir, politiquement (votes, manifestations) -Règles de politesses : l’éducation -Mourir : naturelle, suicide, maladies -Mariage : évolue selon les sociétés -Manière de penser : croyances religieuses, opinions politique

allemand lui-même inspiré d’un personnage ayant réellement existé, un certain Johann Georg Sabellicus surnommé Maître ou Docteur Faust né à Helmstadt en 1466, ayant étudié la médecine , la philosophie et l’astronomie. Il se disait magicien et alchimiste. Accusé de pratiquer la magie noire, certains le soupçonnaient d’avoir pactiser avec le diable en personne : On lui prêtait des pouvoirs magiques qu’il détiendrait d’un pacte avec le démon « Méphistophélès ». Il incarnait la figure du savant qui avait

CHAPITRE 3 INDIVIDUS ET CULTURES I. COMMENT DEVENONS-NOUS DES ACTEURS SOCIAUX ? A. Grâce à la socialisation 1. Ce processus d’apprentissage désigne l’acquisition de modèles culturels  Ces manières de penser, de faire ou d’agir sont fondées sur des normes.  Et sur des valeurs  La socialisation a deux fonctions principales 2. Les phases et les acteurs de la socialisation  Les agents de la socialisation sont ….  On distingue la socialisation primaire et la socialisation secondaire