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Sabrina Lucas
Xavier Pesnel
Le sport, un appareil idéologique du pouvoir dominant ?
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I Marchandisation et rendement, le sport miroir de la société capitaliste. 1°) Les centres de formation : des structures totalitaires. 2°) Transferts et lois : une atteinte aux droits de l’homme. 3°) Le sport et l’économie capitaliste.
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II Le sport est l’opium du peuple. 1°) Le sport est la religion laïque des temps modernes. 2°) Le sport est une vitrine politique du fascisme. 3°) Le sport aux services du pouvoir en place.
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III Le sport engendre haine, racisme, violence, trucage… 1°) La violence du sport est un bon exutoire. 2°) Le dopage : logique de la compétition capitaliste. 3°) Corruptions et trucages, une domination créatrice de pouvoir. 4°) Le sport est un univers sexiste.
Le sport est un appareil idéologique du pouvoir dominant
Personne aujourd’hui ne peut prétendre ne jamais avoir pratiqué une activité physique. Ne serait ce que par le fait que cette activité physique est une matière obligatoire dans l’enseignement et ceux depuis l’école maternelle. Par contre la pratique d’un sport, d’une activité sportive est plus rare. Attachons nous avant toutes choses à définir le sport.
Le sport est une entité complexe à la fois idéologique, politique (dans le sens dépolitisante, on y reviendra un peu plus tard) et commercial, lié à la mondialisation. Le sport est aussi porteur d’un projet anthropologique.
Jean Marie Brohm, née le 14 décembre 1940, est l’auteur d’une multitude d’ouvrage sociologique sur le sport. En effet, à partir de 1968, il fut le premier à faire une approche critique sociologique du sport. On eut lui cité comme ouvrage : « la machine sportive », « critique du sport », ou encore « sociologie politique du sport ». Jean Marie Brohm donne cette définition du sport : « Le sport