Alibi conscience
Formé à partir du mot « conscience » le terme inconscient a un double sens : un sens psychologique (qualifie ce qui est privé de conscience ; ou ce qui ne fait pas l?objet d?une perception conscience : geste accomplis machinalement) et un sens moral (qualifie un comportement irréfléchi, dans lequel le sujet ne se rend pas compte du sens de ses actes ou de ses pensées). L'«inconscience» est reprochée à un homme qui manque d'attention, qui est insouciant. Le terme alibi renvoi à une justification, une excuse. Somme nous toujours responsable de nos actes ? Suis-je responsable de ce dont je ne suis pas conscient ?
partie 1:
L?inconscient peut être exprimé par des pulsions. Mais ces pulsions ne devraient normalement pas devenir conscientes grâce à l?éducation à la morale ou encore a la contrainte (le surmoi). En effet, elles restent inaccessibles et ne montrent différemment selon les personnes : pulsions sexuelles ou bien agressives. Certaines pulsions passant au delà du contrôle de notre surmoi, il existe des actes commit inconsciemment. On dira alors que les puissances inconscientes ont été plus fortes que moi, et cela servira d'alibi. De toutes façons il semble acquis que le jeu des puissances inconscientes en moi restreint ma liberté, et me fait agir sans que je sois maître de moi-même. Ici, l'inconscient sert d'alibi. Mais s'il faut un alibi, c'est que l'inconscience est coupable. Et seul des médecins spécialisés sont capable de déterminé ou non si un individu est dans son état normal, s?il peut utiliser l?alibi de l?inconscience.
Et le rêve, l?acte manqué, le mot d?esprit, manifestent l?existence de l?inconscient. En effet, on ne peut pas contrôler de rêver ou non. les lapsus révèlent aussi la présence de l?inconscience.
tansition:Mais L'inconscient n?est-il pas un alibi facile ?
partie 2:
C?est trop facile de rejeter la responsabilité sur notre inconscient. En effet, on est totalement responsable de nos actes, et de nos paroles. Mais il