Chapitre 4
AMELIORER LA STRUCTURE D’UNE BASE DE DONNEES

L’étude des BDD s’appuie sur le modèle relationnel dont on doit comprendre la logique de construction.
On doit également comprendre que l’organisation des informations à l’intérieur d’une base obéit impérativement à des règles normalisées de construction.
L’objectif n’est pas de construire un modèle relationnel de données mais de savoir le lire et le modifier pour répondre à de nouveaux besoins du système d’information de l’entreprise (ajout de champs dans une ou plusieurs tables existantes, voir ajout de tables).

Ainsi, ce chapitre se situe-t-il dans le prolongement direct du chapitre 1.
Le traitement de ce chapitre, centré sur l’analyse et la réflexion, en amont de la construction d’une base de données, ne nécessite pas de poste informatique.

Entreprise TLM

La situation professionnelle propose la création d’une base de données crédible puisque, malgré une organisation de l’information sur réseau informatique, des travaux sont encore traités en parallèle de façon traditionnelle sur des supports papiers, situation que l’on observe fréquemment en PME.
Il s’agit ici de compléter le transfert des données vers une base informatisée.

L’assistant de gestion prépare la mise en place d’une base de données dans un SGBDR (Système de Gestion de Base de Données Relationnel).
Il est amené à vérifier en amont la faisabilité.
Pour cela, il applique les règles de construction d’un modèle relationnel.

1) Que va-t-on stocker dans la base de données ?

Lors de la création d’une BDD, le travail préparatoire consiste à créer un « dictionnaire de données », càd une liste exhaustive des données dont l’entreprise aura besoin.
Il ne faut pas charger inutilement la base, pour éviter les lourdeurs.
Il s’agit dans un premier temps de ne retenir que les données dites élémentaires.
Les données calculées et les données paramètres seront exclues de la base.

Par ailleurs, il ne faut pas se limiter aux besoins