Analyse de decalogue
Éthique et Politique
340-AEB-03 gr.84411
Travail présenté à Yves Vaillancourt
Date
2 novembre 2010
Collège Ahuntsic
2010
Depuis toujours, l’homme a nourrit en lui ce désir profond de transgresser les interdits. Tout a commencé avec le pêché capital d’Adam et Eve qui d’une certaine façon a maudit toute l’humanité et a fait naitre ce sentiment de désobéissance aux règles établies chez les humains. Krzysztof Kieslowski essaye de montrer dans ses films le plus objectivement possible le non respect des dix commandements et les résultats que cette action peut amener dans la vie des différents personnages. Ce grand cinéaste polonais réussit à produire une œuvre d’une importance capitale qui capte l’essence même de la transgression de ces règles qui sans exagérer ont servi à créer et à maintenir l’ordre dans notre société.
On va commencer par aborder un commandement très important, peut être le plus important de tous : > qui est présent dans le cinquième film de la collection intitulée le Décalogue. Après le visionnement, je dois dire que j’étais très impressionné par le réalisme des scènes, il y a des images qui sont très choquantes, mais on doit réaliser que le cinéaste fait juste raconter une dure réalité qui se passe dans son pays, la Pologne, à une époque où la peine capitale était encore en vigueur. La première scène nous présente un jeune avocat qui vient juste de finir ses examens et reçoit une invitation pour être accepté de façon officielle dans le Barreau. On présente l’opinion innocente de ce jeune avocat qui croit encore aveuglement que la justice est une institution légitime qui fonctionne de façon correcte. La première phrase que l’avocat dit en pratiquant son discours constitue un véritable argument contre la peine de mort : >,il déclare son indignation contre tout le système de son pays et la peine capitale qui d’après lui ne sert à rien et constitue juste une forme de vengeance. La