Analyse marketing converse
Le principe de cette entreprise consiste à réduire celle-ci à un unique siège social organisant la sous-traitance de la fabrication. Nike/Converse n’a aucune usines de fabrication dans le monde. En réalité cette rme cherche des usines souvent artisanale qui leur o riront le meilleur prix pour la fabrication d’un lot déterminé de chaussures pré-vendues sur le marché des pays riches. Cependant, au bout de la chaîne de fabrication, il y a les enfants, mais aussi les femmes esclaves. Par exemple, au Pakistan, ce sont les enfants et les femmes qui fabriquent à la main la plupart des ballons de football de la planète. Des milliers d'enfants travaillent pour presque rien, les ballons étant payé l’équivalent de 50 centimes d’euro l’unité. Il y a des dizaines et des dizaines de millions d’enfants au travail, que ce soit en Asie, mais aussi en Amérique Latine où le système Nike/Converse se développe, ce qui créé dans ces régions une migration des familles les plus démunies. Si le système Nike/Converse se développe c’est grâce à une chaîne de complicité alliant client jusqu’au patron « esclavagiste ». La rme Nike/Converse est une rme transnationale, c’est-à-dire quelle possède au moins une unité de production (pas seulement de commercialisation) à l'étranger. Cette unité de production est alors sa liale. La logique de fonctionnement et de gestion d'une FTN se ré échit à l'échelle du monde et non plus à l'échelle nationale, ce qui n'empêche pas que subsiste un enracinement national de la FTN. Les rmes transnationales choisissent la localisation de leurs liales en fonction non seulement des caractéristiques économiques des pays (importance du marché intérieur, niveau