Analyse nuit et brouillard
1- En prenant pour contexte de diffusion sa présentation dans le cours de stratégies et mécanismes de communication au théâtre du coin, nous pouvons remarquer que plusieurs éléments du modèle de Shannon et Weaver s'appliquent à ce film. Pour commencer, la source de l'information provient du poète français Jean Cayrol qui écrivit le poème Nuit et Brouillard d'après son expérience vécu comme prisonnier dans un camp de concentration. Michel Bouquet fut l'émetteur de ce message puisque c'est lui qui communiquait de façon poétique, le poème de Jean Cayrol. Les deux supports matériels permettant la transmission du message et jouant donc le rôle du canal, étaient l'écran, puisqu'elle nous permettait de voir le film et la musique puisque le narrateur suivait son rythme pour lire le poème. Le message du film consistait essentiellement à l'enfer, la torture, la terreur et tout ce qu'enduraient les gens des camps de concentration nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Tous les étudiants faisant parti du cours mentionne ci-dessus, étaient donc les destinataires puisque le film à été présenté dans le cadre de ce cours. De plus, ils étaient aussi les récepteurs, ainsi que Luc Grenier, puisqu'ils assistaient à la diffusion du film. La langue française fut le code utilisé pour ce film, puisque le narrateur usait des règles et toutes les singularités du code de la langue française.
Pour ce qui est des intercepteurs et des source de bruits, dans mon cas personnel (Catherine Leclerc) il y en a eu un de chaque. L'intercepteur fut Valérie Cléroux étant donnée qu'elle m'a expliqué un sous-entendu dont le film faisait part et que je n'ai pas compris (le sous-entendu de la fabrication du papier avec la peau). Noémie incarnait notre source de bruit puisqu'à plusieurs reprises, elle pleurait et reniflait, ce qui a eu pour effet de nous distraire momentanément.
2- Pendant la diffusion du film, il y a eu une situation de multipolarité car, il y avait une