II/ Découverte et postérité. 1) La poussée d’Archimède.
« Tout corps plongé dans un fluide au repos, entièrement mouillé par celui-ci ou traversant sa surface libre, subit une force verticale, dirigée de bas en haut et opposée au poids du volume de fluide déplacé ; cette force est appelée “poussée d'Archimède”. »
Mais quels facteur influe ou n’influe pas sur la Poussée d’Archimède ?

2) Etudes de certaines découvertes.

Dans l’antiquité, les inventions d’Archimède sont connues contrairement à ses écrits mathématiques. Il a été cité et lu par des mathématiciens d’Alexandrie, cependant, le premier recueil à ce sujet n’a était écrit qu’en 530 après Jésus-Christ, par Isidore de Milet. Le peu de copies sur le travail écrit d’Archimède qui on survécut au cours du moyen âge a été une source d’inspiration pour les scientifiques de la renaissance. La découverte en 1906 de ses travaux inconnue jusqu’à ce moment dans le Palimpseste d’Archimède a donné des idées nouvelles sur la façon dont il a obtenu des résultats mathématiques.
Archimède était un mathématicien, mais il était principalement géomètre, il a touché au domaine de la numération et à l’infini. Un système de numération dont on fait référence dans le livre I de la Collection Mathématique de Pappus d’Alexandrie.
La majeur partie des travaux d’Archimède concernait la géométrie, l’étude du cercle où il détermine une méthode d’approximation de pi par le biais de polygones réguliers et propose comme approximation les fractions qui suivent : 22/7, 223/71 et 355/113, l’étude de la parabole dont il présente deux quadrature (Sur cette étude il prolonge le travail d’Eudoxe de Cnide sur la méthode d’exhaustion), l’étude des aires et des volumes.
Cependant Archimède est aussi considéré comme le père de la mécanique statique. Il a écrit un traité, « De l’équilibre des figures planes », dans lequel il s’intéresse au principe du levier et à la recherche de centre de gravité.
Il lui est également attribuer le