Le travail est source de souffrance lorsqu’il se fait ressentir comme un labeur. A cause de ce labeur, le travail n’est plus perçu comme une passion ou une réalisation de soi. A mon sen, on peut subir au travail. Car de toute évidence, le labeur procure pénibilité au quotidien. A travers le labeur, le travail devient un mal entrainant dépression. C’est à ce moment que cloisonnement et solitude interviennent. Prenons l’exemple d’une mauvaise interprétation d’Adam et Eve. Apres avoir mangé le fruit, ils ont été chassé du paradis puis qu’ils ont été punis par le travail. Le travail est ainsi pensé comme une pénibilité, une souffrance en soi.
Ce qui peut nous faire souffrir au travail est le sentiment d’exploitation. Le fait de travailler pour quelqu’un d’autre apporte une sensation d’asservissement et d’infériorité. A travers le travail dans une société capitaliste, ou les entreprises sont guidés par le profit et le besoin matériel au détriment des conditions de travail mène parfois les employées à la dépression, le cloisonnement et même parfois au suicide. On peut citer les esclaves comme exemple, même s’il est un peu extrême, qui travaillaient péniblement pour leurs maitres et qui devaient souffrir.
Le travail n’est que très rarement un plaisir pour les hommes. Surtout si l’emploi n’est pas motivant et l’investissement personnel sert seulement à vivre et non à s’élever socialement. En effet à ce moment, le travail n’est pas valorisant et deviens pénible, ce qui peut provoquer l’isolement et ne permet pas la réalisation de soi. Prenons comme exemple les ouvriers du bâtiment, ils sont éprouvés physiquement, un travail avec beaucoup de contrainte (condition climatique) ou de dangerosité (gaz toxique, substance dangereuse).
Mais heureusement, le travail ne procure pas toujours le même sentiment de souffrance et de labeur. Parfois, travaillez permet la réalisation de soi et de prouver notre valeur aux autres, ce qui a un rôle direct sur notre satisfaction et