Candide, voltaire, chapitre 30
Sa norme pour mesurer la grandeur des êtres humains a changé. Il a comparé le sort des six rois qu’il avait rencontrés avec celui l’un vieil homme qui s’était impliqué dans sa famille et son travail, et il trouva le destin de vieil homme « un sort bien préférable ». Pangloss, impressionné comme Candide, s’éloigne un peu de son excès d’optimisme car il ne trouve aucune excuse à cette raison. Pour ce faire, au lieu de parler dans sa propre langue, il a dit : « Selon le rapport de tous les philosophe ». Pour prouver son point, il donne des exemples historiques qui prouvent la phrase : « Les grandeurs, dit Pangloss, sont fort dangereuses ». Candide l’interrompt pour exprimer son …afficher plus de contenu…
Le pragmatisme prime sur la beauté physique de Cunégonde. Pangloss, qui garde son optimisme jusqu'au bout et tente de tout justifier, considère que la raison du calme actuel de Candide est ses malheurs d'hier. « Manger des cédrat conflits et des pistaches » est un symbole de paix. Les réponses courtes et répétitives de Candide à Pangloss montrent qu'il est très confiant dans son opinion. Après avoir confirmé les propos de Pangloss, Candide énonce à nouveau le résultat principal de l'histoire : « il faut cultiver notre jardin. ». En fait, Candide arrive de l’optimisme de départ à pessimiste