Chapitre 10 la science avec conscience de edgar morin
Les commandements de la complexité.
La science classique, celle des années ????? avait un vision du monde bidimensionnelle. Une dimension complexe pour qualifier tous les aspects inexpliqués du monde. La complexité n'était que la partie visible et extérieur d'un phénomène, du monde. Ce qui était complexe c'était en fait le monde sans les cartes de la science pour le rendre intelligible. À l'inverse, la deuxième dimension concernait la simplicité vue comme la vraie nature des choses. Ce qui est simple c'est le monde vu et expliqué grâce à la science.
Cette conception de la science à favorisé les explications réductrice et trop générales. Mais selon Edgar Morin, cette pratique de la science n'a pas eu que des effets négatifs, elle a notamment permit de nombreuses découvertes sur les éléments de l'univers les plus petits. Mais ces mêmes découvertes ont conduit à penser de nouvelles relations entre les éléments, ce qui à considérablement complexifié la pratique de la science du fait de l'apparition de notions nouvelles comme l'autonomie, l'auto-organisation, de retro-action, etc. Les avancées grâce à la science classique ont conduit à des découvertes bien trop complexes pour elle.
Dans ce chapitre, il va donc d'abord chercher à trouver des caractéristiques de la science classique et à énoncer ce qui aboutit à des visions un peu simplistes sur le fonctionnement du monde. Ensuite, il présentera les caractéristiques de la science qui aboutit à une explication complexe de l'univers.
Selon E. Morin, pour une vision simplificatrice, il faut...
...Étudier surtout le général, sans s'attarder sur le local, pour permettre aux études d'être universelles.
...Admettre que les événements ne sont pas irréversibles. Avec cette vision, les choses ne sont pas déterminantes, et avec le temps les évènements pourront rentrer dans l'ordre. Le temps n'est pas irréversible.
...Expliquer les différentes composantes d'un système pour le comprendre dans