Chapitre 6 de candide
Le chapitre six de Candide, roman écrit par Voltaire, un philosophe du XVIIIe siècle, intitulé « comment on fit un bel auto-da-fé pour empêcher les tremblements de terre, et comment Candide fut fessé ». Dans se texte se déroule un auto-da-fé à Lisbonne, pour éviter qu'un nouveau tremblement de terre ne se produise.
Maintenant je vas lire.
Pour montrer comment le conte philosophique est utilisé par Voltaire pour dénoncer les abus du XVIIIe siècle, je vais étudier cette événement absurde, puis je vais étudier la dénonciation faite dans ce texte.
Le point de vue omniscient pose une mise a distance des personnages, désignés seulement par le « Docteur Pangloss » et « son disciple Candide » à la ligne 11. Les ellipse de temps lorsque les deux personnages sont en prison, et un ralentissement lors de la cérémonie prouve qu'il y a un centrage sur les moments essentiels de la partie. L'utilisation de « on » ( l. 8-16) englobe le lecteur pour observer la scène comme un témoin.
Il y a des oxymore tel que « bel auto-da-fé » ( titre et l.4 ) qui montre une partie de l'absurdité du texte. De plus, les raisons de l'arrestation de Candide et du docteur Pangloss restent ne son pas valable et absurde, la seul faute de Pangloss aurait été d' « avoir écouté avec un air d'approbation » ( l.14) et celle de Candide, d' « avoir parlé » ( l.13 )
Il y a aussi des absences de liens logiques entre l'autodafé et le tremblement de terre. La preuve de son inefficacité est le fait qu'il se produise un nouveau tremblement de terre ( l. 27)
Voltaire dénonce les croyances irrationnelles et les préjugés qui ne s'appuient sur aucune logique, avec ses ironies avec les mots « sage » ( l.2), « efficace » (l.3) et « infaillible » (l.7). Il renverse aussi les liens de cause et effet avec l'utilisation du connecteur « en conséquence » ( l.8