Commentaire de texte : nos ancêtres - italo calvino
Le mauvais côté de Médard est celui qui revient de la guerre contre les Turcs et est donc le premier côté à être présenté dans l’histoire. Les gens craignent le Mauvais, mais le respectent, toujours par crainte : (p37). On lui attribue souvent le surnom d’Infortuné, mais les huguenots ont trouvé toute une panoplie de surnoms différents :>, >, >, >, >, >, > et > (p54-56, 97). Il est très cruel lorsqu’il est question de justice : (p.x) Bref, le fait que les gens le craignent, qu’il soit cruel et qu’on le surnomme avec des surnoms péjoratifs montre qu’il y a un mauvais côté de Médard, le Mal. La bonne partie du vicomte apparaît environ au milieu du récit. Au début de son séjour à Terralba, Le Bon est apprécié par tous les gens dans le besoin : (p.94) même s’il est parfois trouvé un peu bizarre : (p.89). Toutefois, les lépreux, les huguenots et beaucoup d’autres personnes commencèrent à ne plus trop l’apprécier par la suite : ; ; (p.110).
Ce roman nous montre plutôt l’exagération qu’il peut exister aussi bien dans le mal que dans le bien. Les deux ne sont pas toujours agréable, surtout l’exagération du mal, mais l’exagération du bien n’est pas toujours bénéfique non plus, parce qu’à trop vouloir faire le bien, on finit par faire le mal. (Lorsque Le bon demande aux huguenots de baisser leurs prix et qu’il va ensuite raconter à tout le monde qu’ils ne veulent pas, il leur porte préjudice.) Mais même si une personne mauvaise peut être capable d’avoir quelques bons sentiments, il vaut mieux que le bien et