Commentaire marivaux scene 2
Tout d'abord, les spectateurs sont les récepteurs des apartés de Silvia : « j'ai besoin à tout moment d'oublier que je l'écoute. » à cet instant elle révèle qu'elle écoute Dorante, « il ne faudrait pas s'y fier »cette fois si, c'est son aveu inconscients qui révèle qu'elle est sensible aux propos de Dorante. Le regard du spectateur est ensuite en situation de mise en abyme par la présence de Mario et Orgon durant la didascalie, ces deux personnages ont le même statue que les spectateurs, ils perçoivent le quiproquo et sont dans la confidence, en soit ce qu'ils observent peut être considéré comme une situation galantes : …afficher plus de contenu…
Alors, il doit forcement y avoir une raison pour laquelle c'est deux personnages qui s'aiment n’arrivent pas a se révéler leur Amour Le double quiproquo présents dans ce dialogue théâtral complique l'aveu amoureux par l'omniprésence de la contrainte sociale. Au cœur de ce dialogue , un interdit est présents, c'est l'interdit social qui est dû au déguisement des deux protagonistes. Cette contrainte sociale est exprimé par la présence du lexique de la faute et du regret (« faute »l.1, « désespère » l.16, «accable »l.17, « contre moi-même »l.18, « ma »l.21 ) ainsi ce lexique retranscrit un