PLAN DETAILLE DU COMMENTAIRE Extrait à commenter : « Les confidences de Tarrou » : p.250, à partir de « Je n’ai pourtant gardé…. », Jusqu’à… « le plus abject des assassinats ». Pb : en quoi cet extrait = révélateur de la dimension symbolique ?mise en place de la confidence et réquisitoire contre la mort ? 1/ Le récit d’un souvenir fondateur a) Les trois temps de la prise de conscience de Tarrou Décomposition du texte en 3 temps = les 3 § de l’extrait :
Ø 1e = une révélation : la figure humaine de l’inculpé (Tarrou = comme hypnotisé : « je n’eus plus d’yeux que pour lui »). Portrait à la manière des journalistes : étudier les caractéristiques du portrait, détails…et lieu intime « nuit « terrasse »
Ø Déplacement du point de vue sur Tarrou adolescent : champ lexical de l’émotion. Point de vue interne
Ø Au centre de ce dernier temps : le pst du magistrat = le père de Tartou. Portrait : étudier les caractéristiques du portrait péjoratif et négatif (ni ni )+ sa visée à savoir : violente critique de la sentence et au-delà condamnation de la justice. b) Une expérience décisive pour l’adolescent qu’était Tarrou : Ø Une journée décisive = un tournant dans sa vie : cf. étude des indices temporels (« brusquement, jusqu’ici et dans la phrase qui suit directement le passage : « A partir de ce jour… » = répété 2 fois.
Ø Caractère exceptionnel du moment : cf. hyperboles Þ intensité de la découverte (« un instinct formidable comme une vague » + comparaison ici, « aveuglément entêter », « bien plus vertigineuse…. ». Donc vertige et débordement par l’émotion Journée fondatrice : marque l’engagement de Tarrou ¹ tout ce qui peut donner la mort. 2/ Une rhétorique persuasive : a) Long discours destiné à susciter la sympathie de Rieux et derrière du lecteur pour l’inculpé :
Ø Présenté sous les traits d’un être faible, inspirant la pitié avec emploi hypocoristique « petit », « pauvre », et jeune (« une 30aine