Une voyageur soumis aux aléas

Le premier paragraphe est composé d'une série d'hypothèse. Ligne 6 « Ai-je laissé ». Ligne 8 « Ne trouvais-je » . Ligne 12 « S'il ne fait pas beau » Sous forme de subordonné hypothéthique ligne 2, d'inttérrogation ligne 6 – 8 dont chaque réponse est révélatrice d'une capacité d'adaptation au aléa du voyage.

La façon même dont l'auteur voyage est aléatoire, on relève de nombreux verbe de mouvement « aller, retourner etc. » opposition droite gauche ligne 2. Double négation Ligne 8 « Ni droite ni courbe » se sont donc les chemins du hasard qui sont empreinté par l'auteur il est attiré par les surprises il n'est jamais déçu car il ne suit pas un chemin déterminée. Cette façon de voyager il l'a revendiqué ligne 7 « C'est toujours mon chemin » Elle correspond à la phisolophie du carpe diem. (cueille le jour)

Le voyageur qui sait s'adapter

A la ligne 12 révèle que Mountaigne sait s'adapter tant physiquement qie moralement à ce paralélisme de la phrase « se plie à tout » ainsi que la répétition du pronom « tous » vient traduire un exemple d'universalité humaniste que confirme le déterminant « chaque » ligne 14.

Sa capacité d'adaptation se révéle en outre par le contraste entre l'énumération des pratiques divers de la ligne 14 à 17 et le pronom « un » qui est pris dans le sens d'égale à la ligne 17. Diversité dans la variété des plats avec des anti-thèses « assiete d'étain » ( Bourgeois) et « assiete de terres cuites » (pauvres) contraste entre les classes sociales, Mountaigne dans une subordonnée de conséquence en viens à déplorer cett capacité d'adaptation à la nourriture en raison des effets sur sa santé. S'en suis un court de passage anecdotique de la ligne 20 à 22 où Mountaigne s'amuse que les étrangers se passèrent qu'il ne pouvait s'adapter au pratique culinaire locale, anecdotique témoigne de son ouverture de sa capacité d'adaptation. Derrière le partage de sentiment de vécu au travers des expériences