Cratyle
Le dialogue contient deux visions contradictoires, la première est celle d’Hermogène qui affirme que les signes linguistiques sont crées par une convention, et la deuxième soutenue par Cratyle, rapporte la véracité du lien à l’aspect naturel.
En s’inspirant de la thèse de « Protogaros » qui assigne que « l’homme mesure de toute chose », Hermogène annonce que c’est l’homme qui attribue les noms aux choses, entre autres, la relation entre eux est dû à la convention la plus minimale, soit le seul accord temporaire avec soi même, ce qui désigne l’ arbitraire et l’absence d’un lien logique entre un nom et la chose qu’il désigne. Répondant à cette théorie, Socrate rappelle que tout propos peut admettre la véracité ou l’errance. Pour dire vrai il faut parcourir à l’origine de l’étymologie et chercher la forme originale commune à toute la communauté * Concernant la théorie de Cratyle, elle porte sur l’arbitraire et la nomination des choses est naturelle et ne fait partie des facultés humaine. Par les lettres et les sons, un nom représente et imite la chose d’une manière parfaitement juste et il est absolument impossible de ne pas parler correctement, sinon les mots ne seront que des sons dénués de sens. Carlyle adopte le naturalisme d’où la motivation des mots= la nature a un sens du monde que l’homme ne détient pas.
-Mot=instrument qui sert à nommer, instruire et qui renvoie à la réalité.
-La justesse des noms s’obtient de l’étymologie.
-Il met en cause les deux thèses déjà mentionné : il n y’a ni convention ni nature.
-La relation mot/chose=une relation de substitution qui est soumis à des erreurs.
-Il y’a convention