Dissert
Un des piliers de Les liaisons dangereuses est le libertinage. Dans ce film des scènes y sont représentées, telles les pratiques libertines que la marquise de Merteuil et surtout le vicomte de Valmont accoutumaient. Tous deux multiplient les conquêtes. Cette activité est comme un passe-temps, un jeu. C’est donc ce « jeu » que nous retrouvons dans l’histoire, quand la marquise de Merteuil défie son ancien amant de séduire la fille de sa cousine tandis que ce dernier avait déjà décidé de séduire une femme mariée et très prude. Mais ceci est sans compter sur la volonté du vicomte. C’est avec beaucoup de mensonges, de manipulations et de complots qu’il parvient avant tout à séduire la jeune Cecile de Volange, en la trompant avec une manipulation consistant à lui faire croire qu’il ferait le double des clé de sa chambre afin de lui apporter des lettres secrètes d’un homme dont elle est tombée amoureuse. Mais ce qu’elle ne savait pas c’est que le vicomte ne comptait pas lui apporter de lettres mais pénétrer dans sa chambre et la forcer à avoir des relations sexuelles avec lui. Au début elle parvint à s’enfermer dans sa chambre puis, fait par de ses crainte à la marquise de Merteuil, qui au contraire la pousse à entretenir cet « apprentissage » alors qu’elle sait que ce n’est pas une conduite à avoir pour une jeune fille déjà promise. Et c’est à travers ce complot qu’ils arrivent à donner une éducation de libertine à Cecile de Volange.
Puis avec plus de difficultés et de subtilités le vicomte parvint à ses fins et réussi à séduire madame de Tourvel. Mais il continu de fréquenter une catin qu’il paya alors que madame de Tourvel entrait dans la même salle, et cette dernière fit une crise de jalousie à son amant. A la suite de ceci, réalisant qu’il entretenait une liaison dangereuse, autant pour lui que pour elle, il décide d’y mettre un terme pour demander à la marquise sa « récompense ». Celle qu’elle avait promise s’il parvenait à séduire les deux