La littérature apparaît au début du XIIe siècle avec un sens technique de ''chose écrite'' puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de «savoir tiré des livres», avant d'atteindre aux XVII-XVIIIe siècles son sens principal d'aujourd'hui: ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique ou activité participant à leur élaboration. La littérature a donc, depuis des siècles, connue plusieurs rôles différents. Nous allons nous intéresser plus particulièrement a l'arrivé du langage parlé comme mode de narration. Il est bien entendu impossible de parlé d'oralité sans faire allusion a son créateur Louis. Ferdinand. Céline qui lui fait voir le jour dans son roman voyage au bout de la nuit écrit en 1932. L'oralité a toujours été très controversée depuis sa création, remettant même en cause son appartenance a la littérature. C'est pourquoi nous chercherons dans un premier temps a savoir si l'oralité dans le roman a été une forme de progrès pour l'art littéraire, en nous intéressant a ce quelle a pu apporter de nouveau. Puis dans un second temps nous nous pencherons sur les limites qu'elle peut manifester. Tout d'abord on constate que la littérature a été en constante évolution depuis sa création. Elle est passé de quelque chose de ''strictement écrit'' au XIIe siècle a un ''ensemble d’œuvres écrites ou orales'' de nos jours. L'arrivée de l'oralité dans le roman s'accorde donc bien avec l’évolution de la littérature au fil du temps. L’oralité mélange l’orale et l'écrit qui sont habituellement deux choses bien distinct. Effectivement, l'orale est différent de l'écrit puisque l'écriture sert a poser et organiser des idées, tandis qu'un récit oral est plus spontané, plus direct. Le vocabulaire utilisé peut y être plus familier et les idées moins structurées. Nous avons un exemple parfait d'oralité avec le roman de Romain Gary, la vie devant soi paru en 1973 sous le pseudonyme d’Émile Ajar. Le petit Momo nous raconte son histoire de manière