Dissertation sur la pratique création personnelle
L’utilisation de la peinture acrylique pour mes fonds fut très accommodante puisque je n’avais nul besoin de réfléchir mais uniquement de déposer celle-ci selon mes désirs. J’ai également utilisé des chutes de feuilles souples afin d’appliquer les couleurs au lieu d’un pinceau pour obtenir un rendu moins précis. Lors de l’assemblage, les différentes matières nous procurent un toucher plus doux jusqu’à sa finalisation (et après sa finalisation…le toucher n’était plus agréable ?ou si ?). En effet, j’ai éprouvé de l’amusement et de la satisfaction de passer d’un élément à un autre (est-ce que les éléments se réfèrent aux matières citées deux lignes au-dessus ? si oui tu peux réutiliser le terme « matière » c’est plus facile à comprendre). Mon objectif initial était de réaliser un meilleur rendu que lors de mon précédent …afficher plus de contenu…
Quelle est la portée du sensible (cette question n’est pas très précise) ? La fragilité de la structure serait-elle l’interprétation de ma vulnérabilité ? Après réflexion, j’aurais aimé approfondir la déstructuration (de quoiiiiiii ? même si cela paraît évident il vaut mieux toujours préciser au lecteur de quoi tu parles), soit en positionnant les bandes dans le sens de lecture contraire à celui prédéfini, ou alors en disposant celles-ci à la verticale ainsi qu’à l’horizontale avec des épaisseurs et tailles différentes. Il m’était même possible d’en enlever pour créer un sentiment plus approfondi de désorientation par rapport à l’angle de vu ou bien de l’endroit à exposer (mais du coup tu l’as fait… ?). J’ai eu de nombreuses inspirations pour ce travail. En effet, Yaacov Agam m’a inspiré par sa technique