Dissertation sur la vérité
TG2
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Appréciation :
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Nous pouvons affirmer à un proche qui a une nouvelle coiffure que celle-ci lui va bien alors que nous pensons le contraire. Taire cette pensée paraissant vraie, évidente à nos yeux constitue donc une forme de mensonge. Pourtant, mentir semble pour la majorité des êtres humains …afficher plus de contenu…
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Convient-il moralement d’avouer et d’énoncer à voix haute ce que nous avons réellement en tête quelque soient les circonstances et les conséquences ? Ou bien si au contraire, il convient de faire preuve de discernement et ainsi parfois de mentir pour agir moralement. Nous verrons que la vérité est nécessaire, valorisée. Même s’il n’est pas certain que ce soit toujours le cas. Finalement, nous soutiendrons que la vérité se mérite et qu’elle ne s’accorde pas à n’importe qui. La vérité, comprise au sens moral comme la corrélation de ce que nous tenons pour vrai et ce que nous exprimons apparait comme un devoir moral. Il doit également être appliqué car il est …afficher plus de contenu…
Et dès l’enfance, le mensonge est mal vu, immédiatement réprimé par nos parents. L'éducation parentale nous pousse à rester dans la vérité. Car dès le plus jeune âge, on peut reconnaître que le mensonge apparaît comme une solution, un raccourci qui permet de se sortir d'une situation désagréable pour échapper à nos responsabilités.
De plus, la faute (si celle-ci est avouée) , permet d’atténuer notre faute. Tant est si bien que si nous assumons, il arrive de dire « faute avouée à moitié pardonnée ». Ici le mensonge est placé comme la chose la plus mauvaise. Elle s’oppose donc à toute forme de morale. C’est ainsi que Kant dans sous court essai « D’un prétendu droit de mentir par humanité » explique « Le principe moral que dire