Maria est une jeune Brésilienne qui a un rêve précis, c’est de trouver le grand amour et aussi le désir d’apprendre de nouvelles choses comme par exemple le sens caché de la sexualité et le bonheur d’avoir un orgasme, car elle avait déjà découvert la sensation que la masturbation procurer et elle voulu découvrir d’autre choses. C’est ainsi qu’elle quitta le brésil du Nordeste natal pour se rendre à Rio de Janeiro où sans attendre, elle se diriga vers les plages de cette ville. Sur cette plage elle se fait remarqué par un patron nommé Milan qui tien un bar appelé Copacabana. Dans ce bar elle est embauchée comme prostitué et c’est dans cette aventure qu’elle désir rencontrer l’amour qu’elle a toujours cherché durant son existence, même si elle avait perdu l’espoir déjà adolescente quand elle est tombée amoureuse d’un garçon qui est parti peu de temps après. Pleine d’espoir elle essaie d’oublier les aventures sexuelles qui l’ont déçue et elle est prête à découvrir l’univers des nuits anonymes , des plaisir lucratifs (luktrativen Genüsse ), des fantasmes interdits comme l’expérience du sadomasochisme ou elle s’oublie et elle perd le contrôle. elle passe de l’autre côté du miroir, celui des sexualités conventionnelles qui l’ont déçue, et découvre l’univers étrange de pratiques à la marge, celles des nuits anonymes, des plaisirs lucratifs, des fantasmes interdits : l’expérience du sadomasochisme lui fait deviner la perte de contrôle et l’oubli de soi. Mais rien de tout cela ne répond à son attente et c’est dans les bras banals d’un jeune artiste qu’elle trouve un amour en lequel elle avait fini de croire…

L’odyssée de Maria, sa recherche du sens d’aimer et de jouissance, est aussi une gageure littéraire : que le récit parvienne à évoquer la transe de l’acte, le choc des spasmes, l’essence vertigineuse de la volupté. Ces «onze minutes» durant lesquelles deux âmes se parlent avec les mots du corps sont par essence ineffables. On s’en sort en général en suggérant avec