L’importance d’une mère à son fils

Les humains sont des êtres vivants qui ressentent plusieurs sentiments, spécialement l’amour. Mais avec celle-ci, de l’ennuie et de la souffrance peuvent être éprouvés. L’œuvre «La tête en friche», réalisé par Jean Becker, est une projection de preuve d’amour et de souffrance. Dans cette histoire, le fils qui expérience une enfance plutôt pénible avec sa mère distante, souffre sans sa mère idéale. En amour, il y en a toujours un qui souffre et l’autre qui s’ennuie.

Premièrement, la mère qui s’ennuie de vivre sans un conjoint, ne se soucie pas de son fils qui souffre d’amour. À cet effet, Germain qui est né par mégarde, souffre d’une enfance abusive psychologique de sa mère qui vie dans le chagrin. Par exemple, lorsque la mère et son fils sont au Marché du coin et que Germain échappe la bouteille de lait en vitre, c’est à ce moment que la mère perd patience et commence à lui crier et lui faire des menaces: «On souffre pendant dix heures et on se retrouve avec ça ! Sa mange, c’est salle, à quoi ça donne.» Non seulement, qu’elle lui crie, mais elle l’appelle de toutes sortes de noms comme un «gros con». Autrement dit, la mère ne supporte son enfant. Lorsqu’il essaie de montrer son intérêt de devenir un «vitrailleur», elle l’abaisse instantanément et déclare que ceci n’est pas un métier ou un mot français. En effet, on voit que lors de son enfance, Germain n’avait aucun support moral ou d’encouragement. De plus, Germain souffre d’abandonnement dû au manque d’un père, ce qui affecte aussi la vie seule à la mère, Jackie. Le manque de la présence paternelle inconnue affecte Germain amplement et même mentionne qu’il n‘a jamais eu de model et qu’il a dû découvrir tout par lui-même. Alors, Germain n’a jamais eu quelqu’un à se confier ou à regarder comme idole, ce qui est en partie la raison pour laquelle il était un jeune malheureux. Par ailleurs, la mère qui est déprimée manque d’affection envers son fils qu’il aime tant. En