droit civil
De la plus haute antiquité a la renaissance, il n’y eut pas, a proprement parler, de véritable réflexion économique. Certes, la civilisation hebraiques hérige le travail en commandement, la grece classique délivre le message moral de Socrate, édite l’Economique de Xenophon, invente le communisme platonicien et fait sienne l’economie de nature d’Aristote, tandis que la romr antique, toute imprégnée de juridisme, mela des considerations moral, puis dirigiste lors du Bas-Emire, aux écrit d’economie moral.
Hors témoignage de charité universelle véhiculé par les premiers auteurs chrétiens tel celui de saint augustin, aucun recueil marquant ne oparu avant le moyen age. A cette époque tant sous la plume de cannoniste aussi illustre que saint Thomas d’Aquin que sous celle des conseiollers éclairer du prince a l’instar de Nicolas Oresme, furent piblié des textes desquelles émanent la réprobation de la chrémastiques,-nom savant pour qualifier « l’économie d’argent »-, la condamnation de l’usure et l’exhortation à ne tirer de l’activité mercantile qu’un vague « juste prix ». De la renaissance à nos jours, six grands courants de pensée se discernent : les démarches préclassiques, la doctrine libérale, les thèses contestataire, la théorie marginaliste, la révolution Keynésienne et les réflexions modernes.
SECTION 1
Les démarches préclassiques
Dans un monde bouleversé par la réforme protestante impulsée par les doctrines lutheriennes et