Définition droit bancaire

5399 mots 22 pages
DÉFINITIONS

- Affacturage : Encore appelé « factoring », est apparu en France en 1964 avec la création de la première société française d’affacturage. Technique par laquelle un client, appelé adhérent ou fournisseur, transmet ses créances à une société d’affacturage, dénommé « factor » ou affactureur (établissement de crédit soumis au CMF), qui, moyennant rémunération, se charge d’en opérer le recouvrement, d’en garantir la bonne fin même en cas de défaillance du débiteur et de régler par anticipation tout ou partie des créances transférées. Encore appelé « factoring », apparu en France en 1964 avec la création de la première société d’affacturage.

- Aval (crédit par signature) : engagement cambiaire que souscrit un tiers ou un précédant signataire de la lettre de change en vue de garantir l’exécution de l’obligation contractée par un débiteur de la lettre de change.

- Billet à ordre : titre constatant l’engagement d’une personne, appelée souscripteur, de payer à l’ordre d’une autre personne dénommée bénéficiaire, à une date déterminée, une somme d’argent. Contrairement à la lettre de change, il n’est pas commercial par sa forme ; est commercial le billet souscrit à l’occasion d’un acte de commerce ou signé par un commerçant pour les besoins de son commerce. Relation bilatérale : le souscripteur (émet le BO et qui est le débiteur de la créance) et le bénéficiaire (créancier). Le souscripteur a 2 qualités : tireur et tiré. La provision n’existe pas, il n’y a pas d’acceptation. Soumis aux art L512-1 à L512-8

- Bordereau Dailly : créé par la loi du 2 janvier 1981, dite loi Dailly, du nom du sénateur qui en est à l’origine, et complétée par un décret du 9 septembre 1981, en raison du coût de l’escompte. Il permet de transmettre plusieurs créances grâce à un même titre, permettant de rationaliser le traitement des opérations de mobilisations et d’en abaisser le coût. Il s’agit donc d’un procédé avantageux pour les banques et pour les entreprises pouvant

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