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Avant de traiter de l’intégration des immigrés, ils nous semblent bon de fixer quelques notions aux préalables ; ainsi, voici le vocabulaire indispensable à la bonne compréhension du sujet : Tout d’abord, l’essentiel est de connaître les termes d’émigré, étranger et immigré. Un émigré part de son pays pour des raisons économique ou politique, et devient donc un immigré une fois sur le sol du pays de destination. Une fois déclaré, il est considéré comme un étranger, n’ayant pas la nationalité française. Mais pour l’obtenir, il existe plusieurs droits comme celui du sol (Toute personne naît dans un pays en obtient la nationalité), ou bien du sang (La nationalité est héritée) ne répondant souvent pas à leurs critères.
Bien que depuis le début des années 1990, l'Union européenne est confrontée à des difficultés économiques, ainsi qu’à des taux élevés de chômage, elle continue d'attirer les populations des pays en voie de développement soucieux d'échapper à des guerres civiles, à la pauvreté et à des problèmes environnementaux dans leurs pays. Étant donné que les migrations constituent de plus en plus un problème qui dépasse les frontières nationales, les États membres de l'UE reconnaissent la nécessité d'aborder ce phénomène au niveau supranational.
Face à cette nouvelle population, la France hésite quand à sa complète intégration ; un grand nombre de questions se posent et les avis politiques changent beaucoup des deux cotés. Cette bref synthèse vise donc à répondre à qu’est-ce que un immigré ? D’où vient-il et pourquoi ? Quels sont les droits des immigrés en France ? Se distinguent-ils des droits des citoyens français ? Un immigré européen est-il un citoyen français ? Le vote pourrait permettre une intégration plus facile : que