Espagna
Grandit dans une famille de commercants.
Fait divers petits metiers avant d'etre journaliste, chroniqueur pour le quotidien "l'Intransigeant" --> "Connaissez-vous Paris ?"
En effet c'est le Paris de tous les jours qui l'interesse et non le Paris traditionnel ...
Il est nommé directer en 1954 de la collection "Bibliothèque de la Pléiade", collection publiée par Gallimard qui est une référence en matiere de prestige, de reconnaissance litteraire de l'auteur etc ..........
En 1960 il fonde l'Oulipo (OUvroire/atelier de LItterature POtentielle) qui est non pas un mouvement litteraire mais un groupe litteraire. On y favorise l'ecriture sous contrainte, avec par exemple beaucoup de figures de style comme le palindrome ( mot ou texte qui se lit de la meme maniere dans les deux sens) ou encore le lipogramme ( jeu de mots, signifiant "a qui il manque une lettre").
Il s'inscrit dans un mouvement de poetes flaneurs comme Baudelaire avec ses Fleurs du Mal, Rimbaud avec ses Spleen ou encore Apollinaire avec par exemple sa Chanson du mal-aimé
Dans Hotel Hilton (1967), poeme extrait du recueil Courir les rues, Queneau nous presente une promenade spatio-temporelle dans Paris, tout en devoilant toute sa fantaisie verbale.
Ce recueil Courir les rues (1967) est le premier d'une trilogie, Battre la campagne et Fendre les flots.
Courir les rues regroupe 154 poemes a la thematique commune qui est "paris"
Ce poeme Hotel Hilton est une "promenade ideale dans un Paris qui ne l'est pas"