Ethique et secret professionnel
Les valeurs
Liberté : il peut exprimer une demande sans avoir recours à l’aide d’un travailleur social (pro ou enseignants), possibilité de mettre fin à la relation d’aide.
Le respect dû à l’usager : c’est la façon de l’accueillir, de lui transmettre des informations compréhensibles pour lui
La transparence : l’usager doit être en mesure de comprendre ce qu’il peut demander à l’institution et elle doit lui expliquer le service qu’elle peut lui fournir. Outil de contractualisation de la relation.
Coopération : les usagers doivent intervenir par eux même sur la relation et les difficultés qu’ils doivent surmonter.
L’état garant de ces valeurs
L’état à la responsabilité des règles juridique qui concerne le travail social, notamment concernant la promotion et la participation des usagers, concernant l’organisation et les conditions d’exercice des professions sociales et des diplômes.
C’est l’état qui est garant des règles concernant le secret professionnel, il organise la coordination entre tous les intervenants sociaux.
L’état à choisit de décentraliser l’action social pour de nombreux usagers de l’action sociale (personne âgée, personne en situation de handicap, …)
Risque : la décentralisation peut entrainer des inégalités d’approche et de prise en charge au niveau local.
L’action des département est quand même très importante en matière d’action sociale, quelque soit l’étiquette politique.
La déontologie professionnelle
C’est un ensemble de droits et de devoirs qui régissent une profession, la conduite de ceux qui l’exerce, les rapports entre professionnels et les rapports en un professionnel et le public, les usagers.
Les règles de déontologie peuvent être écrites et devenir des règles juridique qui sont à respecter. Ex : déontologie médicale.
D’autres code de déontologie ont été rédigé par des organismes professionnels mais n’ont pas de valeur juridique. Ex : code de déontologie des assistants de services sociales