Pour ma part Je pense qu’il ne faut pas abandonner ses habitudes, ses coutumes et ses traditions pour accompagner latransformation de la société car ils elles font partie de nous, de notre personnalité et si on venait à perdre ses coutumes ou alors ses traditions cela voudrait dire que l’on oublie nos ancêtres, quel’on oublie d’où l’on vient car l’identité d’un homme ou d’une femme est marqué par des évènements qu’ils traversent et des valeurs que leur donnent leurs familles. Comme dit Fréderic Lopez page 68 (ligne23) « je suis par principe optimiste et j’aime à penser-espérer que ces cultures ne s’éteindront pas sous les coups de l’acculturation » et si tout le monde venaient à perdre leurs coutumes et leurstradition il n’y aurait plus de diversité, plus de culture, plus d’échanges, plus de partage entre les peuples. PHRASE DE TRANSITION ? Par ailleurs Je pense aussi qu’il faut aussi s’ouvrir aumonde car la tension est forte entre la volonté de ne pas renoncer à ses racines et celle de vivre en harmonie avec les autres. Taoufik Bestandji a réussi à faire un choix entre abandonner ses traditionset ses coutumes ou de garder ses traditions et de s’ouvrir aux mondes car celui-ci est né en Algérie et à l’âge de 20 ans il décide de s’installer en France. Il évoque sa passion pour la musique etdécide alors de rester vivre en France il dit dans son texte page 35 (ligne 38 à 41) « Du coup, je me suis senti responsable de la transmission de cet héritage musical. La culture est le dernier souci dugouvernement Algérien et donc J’ai décidé de vivre en France ou je pouvais être utile aux miens aussi ».
Nous vivons au 20ème siècle et nous sommes dans un pays ouvert au monde et je pense que pournous la nouvelle génération ce serait difficile de vivre comme nos ancêtres sans télévision, sans baladeur mp4 sans ordinateur sans les objets informatiqueS, high-tech etc. De plus je