Finance comportementale
Réalisé par :
Oumnia EL MERRAJI
Salim HOMRI
Othmane LAHLOU
Encadré par : M. LARICHI
Gestion de portefeuille Rapport | Finance Comportementale |
Sommaire
Introduction
Partie 1 : les travers comportementaux de l’investisseur (pages 4-7) 1. Les déficiences cognitives : 2.1. Biais cognitifs individuels 2.2. Biais cognitifs collectifs
2. Les biais émotionnels : 3.3. Biais émotionnels individuels 3.4. Biais émotionnels collectifs
3. Conduites automatiques et réflexes inappropriés
Partie 2 : Apparition de la finance comportementale (pages 8,9)
Partie 3 : Apports de la finance comportementale (pages 10-13) 1. Les risques liés à l’utilisation de la méthode des cash-flows actualisés : 4.5. L’estimation des résultats futurs 4.6. Le niveau de risque
2. Méthode comportementale proposée par Peter Greenfinch
Conclusion
Introduction
La théorie financière moderne et les modèles de choix de portefeuille se sont développés depuis près d’un demi-siècle autour de trois piliers : la rationalité parfaite des individus, la maximisation de l’espérance d’utilité et l’efficience des marchés.
La proposition théorique de l’hypothèse d’efficience des marchés financiers est fondée sur une double supposition : la rationalité des agents et l’absence d’asymétrie d’information, elle-même nécessaire pour l’hypothèse générale d’anticipations rationnelles.
Si la rationalité des agents suppose une connaissance commune de la théorie adéquate pour la résolution de problèmes décisionnels, l’hypothèse d’absence d’asymétrie suppose quant à elle que toute information pertinente pour l’évaluation et la détermination de la valeur d’un bien soit disponible – en principe gratuitement – pour tous ces agents.
En d’autres termes, un marché efficient est un marché sur lequel les agents sont tous rationnels et par