Français étude de texte

1305 mots 6 pages
Théâtre de l’absurde : théâtre qui s’est développé après la 2nd Guerre mondiale et surtout dans les années 50. C’est un théâtre qui est marqué par le nihiliste ce qui consiste à ne croire en rien et marqué par le désespoir d’après-guerre. Les idéo politiques ont mené aux totalitarismes pour eux, la science a abouti à Hiroshima et les chambres à gaz. De plus ce sont des gens incroyants et donc athées, c’est donc un théâtre de désespoir. Il a aussi été appelé le théâtre de la dérision mais aussi théâtre de l’avant-garde. Sa modernité consiste dans la réversibilité à la comique et tragique réalité à la fois comique et tragique. C’est un théâtre qui refuse la distinction de genres et registres. 1953 : En attendant Godot, ce théâtre refuse aussi des thèses et des idées. Parmi les auteurs, il y a beaucoup d’exilés comme Beckett, Aldanov…. Ce théâtre a provoqué le scandale et les plus grandes salles ont refusé de le produire. Juste avant il disait avec affection « ma vieille porte de bois » et à la fin de la tirade « qu’il s’en éloigne par son regard d’Erudie et par la comparaison des incrustations ». Le registre du pluriel, cela définie ce que l’on ne possède pas, absence d’appropriation personnelle. La culture apporte des souvenirs mais collectifs, Oreste lui cherche un passé personnel. Seule la conquête personnelle de la liberté semble pouvoir lui accorder sa « majorité », c’est-à-dire une autonomie. Or Oreste est présenté comme une sorte d’éternel enfant par la présence du pédagogue.
2-Contre la liberté du vide
La liberté vu par le pédagogue ce caractérise par le détachement souligné par une liste de négation. Oreste commente ironiquement cette idée « quelle superbe absence que mon âme ». Oreste sans souvenir se sent vide et inconsistant, il développe cette idée à travers une métaphore « du fil de toile d’araignée » c’est une image d’inconsistance et de légèreté, mais celle-ci ne lui semble pas être une liberté véritable, en effet ce fil est déplacé par « le vent

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