Garage
Madame,
Après nos multiples échanges téléphoniques, je me permets comme j’ai pu vous le dire, de vous adresser ce courrier. Entre temps, j’ai pu grâce à l’un des gardiens travaillant au garage du 155, rue de Nationale, réintégré mon ancien parking situé au 157 à l’emplacement n°5216 (3ème sous-sol) dans l’attente d’une place demeurant potentiel.
Je tiens à vous rappeler que ma carte a bien été désactivée depuis le 30 septembre 2010, me condamnant à laisser mon véhicule dehors, n’ayant toujours pas obtenu ni contrat ni emplacement attribué au parking concerné dans le cadre du transfert.
Ainsi, vous avez déjà aisément compris l’embarras comme l’inconfort que cette situation a pu générer : me retrouver pour exemple parmi d’autres exemples, à minuit passé après mon travail devant une porte de garage ne s’ouvrant pas, et trouver corollairement certains matins des contraventions sur ma voiture alors que je paie mensuellement une place de parking.
De ce fait, je vous annexe preuve des 2 contraventions contractées en des périodes qui correspondent à vos balbutiements à pouvoir coordonner et organiser les transferts d’emplacement, non pas vous à titre personnel, Madame, mais votre personne morale, soit votre organisme. Il serait donc agréable, courtois et responsable de la part de RIVP de faire montre d’un geste humainement commercial à hauteur du préjudice commis, ni plus, ni moins.
Je vous demanderai donc d’avoir un peu d’égard, et de bien vouloir au moins dégrever sur la facture de ma prochaine mensualité, la somme de 22,00 euros correspondant aux 2 amendes que je n’ai pu éviter. A votre bon cœur et bonne responsabilité pour le reste.
Attendant de vos nouvelles, veuillez accepter et accueillir, Madame, l’expression de mes salutations les plus courtoises.