Gordi

349 mots 2 pages
Penser est un acte nécessaire à l’homme, cet acte est universel. Chaque personne développe sa faculté de penser de façon différentes, ce qui nous permet d’avoir des opinions et des idées distinctes et fondées sur des expériences quotidiennes. Cependant certains faits nous amènent à douter de cette conclusion. Toutes les idées et opinions ne peuvent pas venir de nous même. Parfois nous avons certains avis sans vraiment en connaitre la source. Nous sommes donc conscient de nos pensées, mais sait-on réellement d’où elles nous proviennent? Penser est sans doute une faculté innée chez chacun d’entre nous et utile pour répondre aux questions que l’on se pose, et ainsi permet de fonder nos opinions personnelles. Mais nous constatons que si nous ne nous ouvrons pas aux connaissances et expériences d’autrui, le développement de notre acte de penser sera réduit.
Donc si la faculté de penser nous est innée, nous suffit-elle pour penser en acte?

1°) Penser une faculté qui n’est pas un acquis?

a) Chez le jeune enfant :

On dit qu’un bébé pense dés son plus jeune âge ou du moins qu’il en a la faculté. Mais celle-ci n’est pas encore acquise. Le bébé perçoit des sentiments, des sensations, …..mais il n’arrive pas à différencier, ou associer les choses, les objets. Prenons l’exemple du « stade miroir »de Jacques Lacan, psychiatre et psychanalyste français), un bébé de moins de neuf mois, ne reconnait pas son reflet dans un miroir, bien qu’il perçoit l’image que celui-ci lui renvoie. Il ne fait pas le rapprochement entre sa personne et le reflet qu’il voit. D’Après les travaux de Jean Piaget, psychologue, la faculté de penser de l ‘enfant est fondée sur la construction-acquisition de la connaissance, c’est-à-dire que ce que l’enfant vit durant sa journée, il l’assimile pendant son temps de repos, il se remémore tout et grâce à cela il arrive à acquérir de connaissances. C’est ainsi que Jean Piaget dépasse l’opposition inné-

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