Hamlet

1827 mots 8 pages
Lors de sa première apparition dans Detective Comics #27 (mai 1939), Batman est déjà le combattant du crime. Ce ne sera que dans le #33 de novembre 1939 que l'on dévoile un peu plus ses origines. Il faut attendre Batman #47 pour en savoir plus et apprendre le nom de l'assassin de ses parents : Joe Chill. Batman devient aussi un des membres fondateurs de la Société de Justice d'Amérique[5]. Il participe toutefois assez peu à leurs missions. Les relations de Batman avec la police ne sont pas conflictuelles. Il collabore même avec la police de Gotham et devient même un membre honorifique de celle-ci[6].
Au début, Batman combat essentiellement des criminels ou des gangsters mais rapidement, ceux-ci adoptent un comportement similaire au justicier et les super-vilains costumés font leur apparition. À commencer par le Joker, clown cruel et sadique qui devient l'ennemi numéro un de Batman ou encore Double-Face dont la véritable identité est Harvey Dent, ami de Wayne et procureur incorruptible. Défiguré lors d'un procès, Dent sombre dans la folie et décide de faire justice lui-même.
D'autres super-vilains font leur apparition à Gotham City comme le Pingouin, le Sphinx, le Chapelier fou, l'Épouvantail, Hugo Strange, Gueule d'argile ou encore Catwoman avec qui le chevalier noir entretient une relation ambiguë. Face au nombre croissant d'ennemis, Batman est rejoint par un partenaire pour l'épauler : Robin. En réalité, Bruce recueille Dick Grayson dont les parents ont été assassinés. Dick est issu d'une famille de trapézistes et travaillait dans un cirque. Bruce ne peut pas garder le secret de sa double identité bien longtemps et le jeune Dick lui force la main pour le rejoindre et endosse le costume de Robin[7].
À la fin des années 1950, les éléments composant le mythe de Batman ont été pratiquement tous introduits. À l'arrivée de l'âge d'argent, ces éléments spécifiques seront considérés comme se déroulant sur une Terre parallèle : Terre II.
Il est à noter que, durant cet

en relation

  • Rédaction
    1049 mots | 5 pages
  • De devons nous nous fierer de nos certitudes ?
    2220 mots | 9 pages
  • enceinte de bruxelles
    815 mots | 4 pages
  • Le nez de gogol
    1266 mots | 6 pages
  • Hamlet
    873 mots | 4 pages
  • Micromégua
    764 mots | 4 pages
  • 2156_corriges
    6504 mots | 27 pages
  • Analyse du roman «terre paternelle» de patrice lacombe
    255 mots | 2 pages
  • Hamlet
    1352 mots | 6 pages
  • L'homme a l'envers
    707 mots | 3 pages
  • Batman
    1102 mots | 5 pages
  • batman
    363 mots | 2 pages
  • Analyse le nez de gogol
    292 mots | 2 pages
  • Hamlet
    36989 mots | 148 pages
  • Commentaire composée grasse matinée de jacques prevert
    471 mots | 2 pages