Histoire de la france rurale
George Duby – Armand Wallon
L’essor de la paysannerie (1789-1852) : attitudes politiques.
1815-1830 : conservatisme spirituel, indocilité psychologique.
Dans première moitié XIX° structures éco évoluent lentement, pas les régimes politiques. Examiner la place de la paysannerie dans chronologie des bouleversements.
Leur place est nulle avant 1830, modeste de 1830 à 1848 et massive et décisive après 1848 et instauration suffrage universel.
Sous Restauration le cens les maintient à l’écart : seul 100 000 grands électeurs et seule élection des députés : conseillers généraux, d’arrondissement, maires et conseillers municipaux nommés par gouvernement ou préfet. Dans les + petites communes conseillers municipaux mais maire toujours un notable : riche proprio, notaire, marchand, car faut que le maire ait un minimum d’instruction ! Paysannerie exclue vie politique mais vue comme bonne / le régime en fonction de ses valeurs conservatrices et traditionaliste.
Le rôle du clergé
Monarchie à le soutient clergé catho et croit pouvoir faire fond sur son influence en milieu rural. Certes clergé en manque de prêtres et complètement refait mais on pense qu’après fin vague révolutionnaire tout ne peux aller qu’en s’arrangeant, prêtres restauration avaient sentiment que situation en leur faveur, et donc intransigeant impiété et vice. Libéraux voltairiens défendent paysans : villageois de Touraine que l’on empêchait de danser. Mais impression que catho retrouverai sa force d’antan et l’assentiment populaire
Pourtant pop très peu jacobine, Voltairienne, ni même politisées. Mais à ce niveau archaïsme contestation latente peu exister avec conformisme.
Un peuple Indocile
En fait analyse des « mentalités » + pertinente que celle des « opinions ».
Peuple nombreux et dense : +natalité que mortalité et pas encore grande migration comme exode rural.
Peuple pauvre : limite équilibre, menace mauvaise récolte.
Peuple fruste : majeure