Historique de la loi 112
Le premier pas vers l’adoption de la loi 112 commence en 1995 quand les femmes revendique contre la pauvrete et la violence faites au femmes avec leur marche appeler « du pain et des roses ». Par la suite, le gouvernement invite les groupes de pression a assister a l’organisation du programme « appauvrissement zero » en 1996. En 1997, le premier partisant de la loi 112 fait surface. Le Carrefour pastorale en monde ouvrier de Quebec (CAPMO) cree un parlement de rue et discutent de la problematique pendant un mois dans le parc devant le parlement, il propose la participation des citoyens. En 1998, le CAPMO fait la promotion d’un projet de loi insistant autant sur le processus que le resultat. A l’aide de remarques et suggestions, ils produisent une premiere version de la loi 112 et font circuler une petition pour une loi sur l’elimination de la pauvrete. Ce n’est qu’en printemps 2000 que le Collectif redigent un projet de loi conventionnel. Apres que le projet de loi est deposer au parlement, le CAPMO se debat pour faire adopter la loi. En Juin 2002, on voit le projet de loi 112 etre deposer au gouvernement, projet qui est beaucoup plus restreint que celui proposer par le Collectif. Le CAPMO a comme strategie de posser pour plus une fois que la loi soit adopter. La Loi est finalement adopte le 13 Decembre 2002.
Partisants et Opposants
En ce qui concerne les partisants et les opposants, il est clair que le Collectif est le majeur partisant de la loi contre la pauvrete et l’exclusion sociale au Quebec. Il est cependant difficile de determiner ces opposants puisqu’il n’y avais pas d’opposants concret. Lorsque la loi a ete proposer par l’assemble nationale, elle a ete adopte l’unanimite. Bien evidement la loi n’etait pas un portrait cracher de ce que le CAPMO avaient proposer, mais elle y composait ces grandes lignes. Malgre qu’il n’y ai pas d’opposant concret, cela n’a pas empecher le gouvernement Charest a jouer avec le plan d’action peu precis