espagnol hogar, dulce hogar p°48 un jour un chanoine de la cathédrale est venu de tarragona à célébrer la messe. C'était l'anniversaire de la mort d'oncle miguel, "préféré du grand-père", la cuisinière chuchotait fransisca, qu'il avait été dans sa jeunesse, la maîtresse de mon père et de ses frères. L'oncle miguel [...] il était tombé [...] en luttant contre les rouges. mon père, qui était républicain, finissait d'arriver de l'exil clandestinament et vivia semiscondido dans une maison du grand-père, il(elle) a assisté à la messe debout dans un coin de la chapelle, mais à l'heure du petit déjeuner, il s'est refusé à aller à la table avec un prêtre fasciste, a dit.
Nous commençons à trembler. au grand-père se sont mis les mandibules rigides et le visage rouge de furie. une minute après, entre des hurlements et des menaces, je menace mon père à qui il(elle) occupera son endroit. mais mon père, très digne, s'est retiré à sa chambre.
Le grand-père était comme un vent violent; devant une désobéissance si flagrante et une attaque si directe à le même, que, après avoir éclaté, la guerre était passée à burgos avec les ressortissants(gardes nationaux) - les séditieux, il(elle) disait que mon père les yeux de sang lui ont été unéjectés, et bramendo mange le possédé et en mettant un dieu par témoin de ce qui avait touché souffrir dans cette vie et de beaucoup qui existait par tous nous sans que nous ne le méritassions absolument, il(elle) a mis à se rendre zancadas là-haut et en bas(là-haut et à bas,en haut et en bas,en haut et à bas) de la grande salle à manger où une table avait été préparée ma à une occasion si solennelle. [...] le chanoine, de plus en plus renversé, suivait le grand-père en essayant de le calmer mais sans atraverse à parler et sans comprendre encore comme dans la maison de cet homme saint des scènes pouvaient être données comme celle-là. les invités s'appuyaient au mur sans savoir ce que faire. et, au cas où, ils(elles) nous ont ordonné à la cuisine à