Inflation et chomage
Il y a ceux qui sont montés dans le train de la rigueur quand il faisait encore beau, et ceux qui ont attendu l’orage pour se ruer dans les wagons ; ceux qui ont accepté des mesures d’austérité avant que n’éclate la crise de 2008, et ceux qui doivent s’y soumettre alors que la récession économique menace…
Un an après le début de la crise grecque, la zone euro est toujours au bord de la gouffre, ni les 110 milliards promis par l'UE et le FMI, ni le plan de rigueur drastique ont permet d'améliorer la situation financière . Après Brian Cowan en Irlande, José Scorâtes au Portugal, George Papandréou à la Grèce, José Lewis Zapatero en Espagne et Silvio Berlusconi qui vient de tourner une page de 17 ans.
Dimanche prochain à Francfort, siège de la banque centrale européenne, des responsables politiques et économique sont toujours à la recherche d'une solution, comment peut-on relancer l'économie ? devant une crise de dette qui ne cesse de se propager et risque d'exploser l'UE même pas vingt ans de sa création !!!
Quatre mois auparavant, dès que le gouvernement du Parti socialiste eut été formé après que celui-ci eut accédé au pouvoir en Grèce, il a déclaré que le déficit budgétaire de la Grèce sera en 2009 de plus de 12 % de son PIB, ce qui sera de loin supérieur au plafond prescrit par l'Union européenne (UE) qui est de 3%, et c'est à ce moment là que le problème d'endettement de la Grèce apparaît au grand jour au vu et au su de tous. Puis, suite à l'abaissement de sa cote de crédit souverain, la Grèce commence officiellement à souffrir de la crise d'endettement souverain. En dehors de cette dernière, trois autres pays européens, à savoir le Portugal, l'Irlande et l'Espagne, ont également un niveau de déficit dépassant de loin le taux de 3% prescrit dans la « Convention sur la stabilité et la croissance » définie par l'UE.
La violente et sérieuse fluctuation du marché boursier international, l'euro perd du terrain face au dollar en raison des craintes