Interactionnisme positif
Cette notion d’interaction ne doit pas être séparée de celle de « lien social » qui peut se définir comme étant un lien durable qui fait qu’un individu a le sentiment d’appartenir a une collectivité, a un noyau d’individus. Ils vont alors partager les mêmes normes, les mêmes valeurs, et les mêmes opinions.
Chacun se construit non pas individuellement mais plutôt par le fait qu’il est inséré dans un groupe social particulier. Simmel emplois le terme « d’action réciproque » et de « microsociété » a l’intérieure desquels l’individu opère des échanges multiples et donc réciproque. Ces micros sociétés peuvent êtres apparentées à des communautés ou l’individu à la possibilité de se socialiser.
Les communautés sont des cercles sociaux différents et qui permettent à l’individu d’accroitre ses possibilités d’action. De même cette multiplicité des cercles va permettre le processus d’individualisation : en effet les cercles sociaux sont tellement divers et variés que l’individu a la possibilité de se constituer une identité plus personnelle du fait même qu’il est rare qu’un individu traverse les mêmes cercles sociaux en même temps que lui. Interactionnisme symbolique : est un courant de pensées sociologique qui envisage l’individu comme étant un acteur : il n’est pas un sujet passif qui subit de plein fouet les structures sociales a cause de son habitus ou de la force de sa structure d’appartenance. Au contraire il construit son univers et il