Ce corpus est composée de quatre documents .Un texte de Nicolas Bouvier, « Chronique japonaise ».Puis un document iconographique représentant une avenue de Tokyo de Florent Chavouet « Tokyo sampo ».Un texte de Marguerite Yourcenar « Tokyo ou Edo ».Puis en dernier un texte de Philipe Forest « Sarinagara ».Chaque document a pour thème la ville de Tokyo mais pour les trois premiers documents le point vues abordés est celui d’un étranger découvrant cette ville mais est perturbés par les valeurs étranges des japonais. Le quatrième document est en opposition avec les trois premiers .A travers ce corpus il est mis en avant les images qu’on peut se faire d’un pays étranger (dans ce cas ci le japon) et les préjugés qui en découle mais la question ainsi véhiculé est ce que on peut qualifier ceci de vérité ou simplement une peur de ce que on ne comprend pas, de ce qui nous ressemble pas. Ceci sera défendu a travers les documents.
Question 2
Philippe Forest et Marguerite Yourcenar ont un point de vus opposés sur la ville de Tokyo. Dans le texte « Onze millions de robots » de Marguerite Yourcenar il est beaucoup critiqués le conformisme des japonais l’un des premiers clichés qu’on une grand partie des étrangers « onze millions de robots impressionnent toujours », « le vêtement quasi obligatoire de votre profession ».A travers l’évolution du texte on constate une deshumanisation de la personne en la plaçant de sujet a objet . «des contraintes si habituelle qu’on ne les sent plus », « les écoliers toujours en troupe » ou encore l’association a des termites confirme cette vision d’une société ou règne la volonté collective et que l’individualité à très peu sa place. Dans le texte de Philippe Forest il est abordés dans une première partie du texte l’idée qu’on peut se faire de Tokyo ;la pollution, les masque posés sur le nez, la criminalité, la prostitution. Tellement d’idée reçu a travers les médias qu’on assimile au final comme veridict cependant la deuxièmes partie